UNPACK: Le Défi des PFAS pour une Eau Potable Sans Compromis sur la Qualité et la Traçabilité »

La triple sécurité de la réserve d'eau potable UNPACK de 1000 litres

Le Défi des PFAS.

À l’ère où la conscience environnementale guide nos choix, la question des substances toxiques éternelles (PFAS) dans les conteneurs et réservoirs en plastique recyclé suscite des préoccupations légitimes. Chez UNPACK le défi des PFAS , concerne des mesures significatives pour offrir une alternative fiable et sûre, particulièrement dans notre dernière innovation : les réserves d’eau potable de 1000 litres.

Les PFAS, substances toxiques éternelles présentes dans de nombreux produits plastiques, soulèvent des inquiétudes quant à leur impact sur la santé et l’environnement. Dans notre dernier article, nous explorons en profondeur les origines de ces composés et les risques potentiels qu’ils posent lorsqu’ils sont utilisés dans des contenants alimentaires, tels que les réservoirs d’eau de pluie.

Les substances toxiques éternelles : Article complet sur le défi du plastique recyclé.

La Complexité du Recyclage :

Notre solution de 1000 litres repose sur une approche éco-conception, privilégiant des matériaux homologués et une sobriété des produits. UNPACK s’engage à offrir des solutions durables sans compromis sur la qualité, apportant une tranquillité d’esprit à ceux qui recherchent une réserve d’eau potable fiable et responsable.

L’Engagement envers la Santé et la Durabilité.

Notre solution de réserve d’eau potable de 1000 litres repose sur une approche éco-conception, privilégiant des matériaux homologués et une sobriété des produits. UNPACK s’engage à offrir des solutions durables sans compromis sur la qualité, apportant une tranquillité d’esprit à ceux qui recherchent une réserve d’eau potable fiable et responsable.

Face aux défis liés aux plastiques recyclés et aux préoccupations croissantes liées aux PFAS, UNPACK se positionne comme la réponse inébranlable. Nous croyons en la création de produits durables, sûrs et respectueux de l’environnement. Faites le choix de la qualité avec UNPACK et vous aurez une eau potable sans compromis .

Le récupérateur d’eau de pluie UNPACK anticipe l’enjeu des sécheresses!

Les pluies de printemps servent à anticiper cet enjeu pour tous les types de plantation. Le récupérateur d’eau de pluie assure cette fonction de régulation pour ces pluies saisonnières. Mais aussi pour capter les pluies intenses et ponctuelles des orages.

Or déjà des faits d’actualités annoncent un été 2022 avec des sécheresses installées dans de nombreux départements. Même la précocité des chaleurs hors normes est présente sur l’hexagone. Certains experts parlent d’une sécheresse historique qui aura un effet sur la production des denrées alimentaires et s’ajoutera aux prix déjà élevés.

Est-ce encore possible de faire vivre un jardin ou un potager dans une région avec peu de pluie alors que ce sont des zones dans lesquelles le niveau de pluie annuel est habituellement élevé : La part de sécurité alimentaire qui y est liée devient alors une grande inquiétude !

L’eau potable disponible a d’abord une fonction sanitaire et d’alimentation humaine, ce qui est vital. Or, seulement 3% de l’eau présente sur terre est une eau potable. Les zones en cours d’aridification avec de l’eau utilisable, mais en très grande profondeur, augmentent déjà en Espagne. Le rapport du Giec est précis sur les conséquences pour le sud de la France. Les sécheresses vont aller en augmentant.

Adapter sa gestion de l’eau est possible et responsable

Des solutions simples sont connues pour protéger les sols de l’évaporation, comme le paillage. La distribution de la ressource d’eau par infiltration lente est une technique développée dans bien des zones méditerranéennes avec les Oyas, mais faut-il avoir de l’eau disponible. Quand la sécheresse s’installe, ce sont la quantité des récoltes alimentaires qui deviennent un enjeu face au prix des fruits et légumes touchés par l’inflation.

Mais en milieu urbain, cette ressource est négligée voire est une grande gêne. Mais c’est avant tout une richesse immense !

Outre l’effet régulateur de la température, c’est une ressource considérable pour s’adapter aux conséquences des sécheresses. L’eau  du réseau public qui est potable se réserve à des besoins stricts de consommation, d’hygiène et de sécurité.

Des actions simples, des impacts responsables pour l’humain et la collectivité : des récupérateurs d’eau de pluie UNPACK !

Installation d' une cuve eau de pluie UNPACK sous pluviale dans un jardin partagé à Lyon
Installation d’un récupérateur d’eau de pluie UNPACK au « Vert Luizet » commune de Villeurbanne ( 69100)

Les jardins partagés, familiaux ou communautaires commencent à s’équiper pour prendre possession d’une part la plus importante. Ils s’équipent de volumes de plus en plus grand et le récupérateur d’eau de pluie de 1000 litres devient un standard (exemple d’un des jardins partagés historique de Lyon « Le Vert Luizet »). Cependant les collectivités ou bailleurs sociaux restent encore en retrait pour favoriser cet essor. Les produits disponibles sont souvent très peu écoresponsables à leurs yeux. Sur des zones à forte concentration urbaine, la collecte en volume doit être proportionnelle aux besoins. Donc des plus gros volumes de récupération sont nécessaires tout en restant discrets et paysagés avec un très  faible entretien. Une attention toute particulière sera nécessaire pour ces produits afin de lutter contre le développement des larves de moustiques.

Les références de ces récupérateurs d’eau de pluie pas chers et faciles à installer sont disponibles. Ils apportent de réels impacts pour l’éco-responsabilité mais aussi pour l’ensemble des Objectifs de Développements Durables (ODD).

Des impacts ce sont des réservoirs UNPACK de 1000 litres qui ont ce pouvoir d’action concret. Deux réservoirs UNPACK adossés à un cabanon de 12 m2 (à 2 pentes), peuvent collecter en moyenne 6 m3 d’eau de pluie. Et rien n’interdit de les rendre paysagers à peu de frais !

Le récupérateur d’eau en plastique: réduire cette matière pour des jardins plus responsables!

La raison et la pression médiatique poussent à dire : « OUI, il le faut ! »

Une tache de grande ampleur avec des couts financiers nous attend. Pourquoi? Une action est-elle possible? Oui, mais laquelle?

Jardins familiaux dans le Vaucluse: Des cuves IBC/GRV comme autant d’histoires industrielles pour de l’eau

Un des matériels le plus commun dans un jardin est la cuve, qu’elle soit un simple réservoir d’appoint  (généralement un fut bleu tronqué) ou un récupérateur d’eau de pluie. Or depuis 25 ans, ces cuves sont à 95% en plastique.

Les chiffres sont parlants car ils donnent l’ampleur de la présence de ces produits dispersés dans le domaine public ou privé. L’INSEE  recense 17 millions de jardins adossés à des résidences. Les associations nationales référentes de Jardins Familiaux et Collectifs (par exemple FNJFC et CNJCF) indiquent que le nombre de jardins gérés est de 200 000 (en 2019) avec statistiquement une moyenne de 20 lots ou parcelles par jardin collectif.

La France serait donc une terre riche de 21 millions de parcelles où le végétal peut se développer. Comme l’on trouve en moyenne 20% de parcelles avec un récupérateur d’eau en plastique, il existe donc 4 millions de réservoirs de 200 à 1200 litres. Quel énorme stock pour la France. Or dans 90% des cas ce sont des réservoirs en plastique de type PP ou PEHD. Or ces cuves ont pour la plus grande partie déjà servi, c’est donc un réemploi vertueux !

Il s’agit au minimum de 20 000 tonnes de plastique d’emballage qui ont  déjà produit  40 000 tonnes de CO2. C’est colossal même si cela s’étale sur plusieurs années.

Que  peut-on faire maintenant  d’un récupérateur d’eau en plastique ?

Ces réservoirs peuvent être de nouveau, récupérés, collectés puis transportés, ensuite triés, lavés et déchiquetés pour devenir des granulés de plastique.  Mais c’est là une belle histoire.  Ce sont des emballages impossible à réintroduire en déchetterie publique par l’utilisateur, surtout si ce sont des IBC/GRV de 1000 litres. A eux seuls ce sont des déchets . Des professionnels experts évaluent leur part à 500 000 unités soit 10 000 tonnes de plastique. Donc eux seuls ont contribué à 20 000 tonnes de CO2. Et surtout leur part ne cesse d’augmenter avec la vente sur des réseaux peut soucieux de la traçabilité. Ces chiffres sont sous-estimés vu le nombre considérable de ces conteneurs qui se retrouvent  à demeure dans la nature.

Ces IBC/GRV sont des emballages, la récupération est donc prévue  par un  Ecolabel?

Les industriels fabricants d’emballages – dont la récupération de leurs produits relève de leur responsabilité – doivent avoir une solution avec leur LIFE CYCLE SERVICE. C’est la seule option avec une collecte spécialisée. Elle est nécessaire pour ces produits qui pèsent 50 kg l’unité et ne peuvent se manutentionner à la main. En effet la contrepartie de la collecte et ses couts, se trouvera dans le gain de la matière recyclée et vendue pour réaliser de nouveaux produits.

Pourquoi n’y-a-t-il pas de recyclage des conteneurs IBC/GRV utilisés dans les jardins et qui sont en fin de vie?

Car avant d’obtenir des granulés ré employables avec des emballages aussi vieux, de très nombreux travaux sont à réaliser. Les couches internes de déchets végétaux sont à décaper mécaniquement, des cages  en acier déformées et rouillées à désassembler manuellement. De très nombreuses heures de démontage, de  tri et de lavage à très haute pression seront nécessaires. Or comme les cages acier ont mal vieilli, elles ne seront pas ré-employables . Pour ce qui est du PEHD, l’action des UV ,les peintures de masquage, les trop-pleins métalliques à démonter etc. vont rendre le temps technique beaucoup trop cher pour l’industriel . La conclusion sera le broyage grossier des conteneurs IBC/GRV plastique pour une destruction vers un incinérateur de cimenterie.

Le cycle vertueux des IBC/GRV s’arrête. La fin de vie est lourde en empreinte carbone additionnelle sans nouvel usage de la matière plastique. La peur de ces déchets s’installe, à ce jour il n’y a pas aucune proposition de  récupération !

Quel récupérateur d’eau en plastique existe  face à ces besoin de transition plus responsables pour les parties prenantes des jardins?

Il faut traiter l’existant qui sera des déchets, mais avant tout ne pas accroitre cette situation au travers des besoins croissants de récupérateur d’eau en plastique. Le citoyen comprend que l’eau potable sera limitée aux usages vitaux. Il faut donc stocker la ressource naturelle de l’eau de pluie pour tous les nouveaux jardins créés. Par ailleurs  l’équipement des résidences secondaires se développe en  PACA et Occitanie , régions qui seront touchées par la répétition des sécheresses. Les conclusions du rapport du GIEC en donne toute l’importance.

Ces contraintes exacerbées par le besoin de sécurité  en ressource d’eau donnent en moyenne une croissance de 5 % par an. Ce seront 200.000 récupérateurs d’eau en plastique par an de tout type qui seront  des déchets pour les générations futures défigureront souvent le paysage.

La solution de cuve 1000 litres UNPACK permet de s’affranchir  de toutes les contraintes.

Ce récupérateur d’eau est produit avec 80% de plastique en moins . Cette matière est utilisée exclusivement pour le besoin de réserve d’eau étanche, alimentaire et à petit prix. Il se place dans un espace réduit pour une installation   sans contrainte  ni de transport ni de manutention. L’ empreinte carbone est réduite de 85%  avec un recyclage évident des 2.3 kg de plastique en déchèterie agréée . En complément une esthétique pour un environnement végétalisé et donc apporte un agrément visuel.

Récupérateur d'eau UNPACK adapté à des jardins familiaux dans le Vaucluse. Une cuve avec 85% d'empreinte carbone en moins
Jardins dans le Vaucluse: Cuve 1000 litres UNPACK , moins de plastique et de l’esthétique en plus (Vue adaptée)

Une cuve d’eau de pluie pourquoi faire?

La cuve d’eau de pluie est-ce utile ?

Les pluies exceptionnelles de mai 2021 sont une illusion d’une information instantanée. La cuve d’eau de pluie est évidente car la fin des sécheresses n’est pas annoncées! La quantité d’eau issue de la pluie se mesure dans la durée en accumulation et comparaison sur plusieurs années.

POURQUOI?

Il y a moins de pluie si l’on considère l’étalement dans le temps et aussi moins de pluie bienfaisante  même s’il pleut abondamment et de façon « épisodique » !

Car il y aura moins d’eau dans les lacs, étangs, rivières et fleuves (Exemple du Rhône)

Et la consommation d’eau croit pour satisfaire les populations en augmentation qui associe l’eau, dans une grande majorité de pays occidentaux, à une richesse publique illimitée.

Les faits sont là, la capacité à répondre aux besoins n’est plus présente tout au long de l’année !

Donc il y a des conséquences!

En premier lieu, pour recycler et  traiter trop d quantité d’eaux usées, le prix facturé de l’eau du robinet a augmenté de 10% en 10 ans soit 4€/m3. Mais les analystes financiers ne s’y trompent pas : ce prix va augmenter de plus de 25% d’ici 2030 !

Déjà des organismes travaillent à mieux gérer cette ressource et un plan pluriannuel auquel chacun peut participer encore quelques semaines est à l’œuvre par les collectivités locales en charge du dossier .

Cependant cela n’est pas suffisant car l’action publique est parfois lente ou contrariée.

Il est nécessaire que chacun, avec ses moyens s’empare au plus vite de sa plus grande richesse  « ignorée » !

L’eau nous accompagne au quotidien et de nombreuses actions peuvent en limiter le gâchis et favoriser le bon usage avec une cuve d’eau de pluie. Le plus simple étant de réserver son emploi en fonction de sa provenance, eau  de source, eau potable distribuée, eau de pluie, eau usée en réemploi.

De nombreux sites proposent des actions de réduction des gaspillages mais avant tout il s’agit d’eau potable distribuée qui effectivement est un bien  très rare pour beaucoup d’hommes sur terre.

Une cuve d’eau pluie est-ce la bonne solution à adopter?

L’humanité dispose d’une ressource gratuite, à capter, stocker pour l’utiliser plus tard, c’est l’eau de pluie. Une évidence accessible à chacun, d’autant si elle est disponible à proximité d’un besoin. La cuve d’eau de pluie prend tout son sens en tant que récupérateur d’eau de pluie !

Faut –il encore que le stockage soit facile, fiable, pas cher et propre  pour de  l’eau que des végétaux vont absorber. Car il s’agit seulement d’arroser un potager ou accessoirement des plantes et arbres d’ornement. Cet équipement doit être aisé à manutentionner, à installer  et  devenir esthétique.

UNPACK met à la portée de tous cet équipement écoresponsable avec un produit simple et pas cher. La cuve qui est la plus écologique du marché se recycle en poubelle de tri d’emballage ménager. Ses autres composants rigides sont garantis 15 ans pour un réusage et un sac de déchet est commun pour le recyclage en déchetterie

UNPACK a volontairement développé un produit sans le superflu mais avec l’indispensable pour pouvoir immédiatement répondre au besoin d’une ressource sans constance mais vitale .

Et pour aller plus loin ensemble!

Les pouvoirs publics et l’action de ses représentants ont ainsi inscrit une nouvelle obligation ,qui est cohérente dans le contexte décrit ci-dessus. La loi économie circulaire du 10 février 2020 inscrit une évidence de mise en place à partir de 2023 dans les constructions nouvelles d’une action pour limiter la consommation d’eau potable.

Mais en l’état, et sans attendre, rejoignez la communauté de centaines de citoyens responsables. Vous serez un acteur du sauvetage de dizaine de milliers de litres d’eau.

Contactez-nous pour un devis pour un récupérateur d’eau de pluie pas cher !

UNPACK la cuve d'eau qui s'habille
Cuve d’eau avec un habillage simple et pratique

Loi anti-gaspillage en vigueur depuis janvier 2021

Cuve 1000 litres démontable réparable et recyclable

Lien pour lecture: ici

Utilisation des réservoirs d’eau de pluie issus du réemploi des industries, quels sont progressivement les impacts? 

La loi anti-gaspillage introduit-elle des actions concrètes qui touchent au fonctionnement des jardins?

La loi aura-t-elle un impact sur autre chose que la suppression des emballages à usage unique comme les pots plastiques des semis de la grande distribution?

La réponse est OUI !

Généralement dans les jardins familiaux ou partagés sont présents des emballages en plastique de grand volume pour récupérer et distribuer l’eau de pluie. Ces réservoirs issus de l’industrie lourde sont assez commodes. Cependant ils ne sont pas exclusivement à proscrire à cause de possibles développements de larves de moustiques quand ils sont ouverts. Ils présentent d’autres inconvénients au moins à deux titres! Ce sont  des produits qui créent de l’effet de serre. L’ importante empreinte carbone vient de leur fabrication avec 18kgs de plastique. Leur reconditionnement après le lavage avec beaucoup d’eau chaude et de lessive est aussi une cause . Mais ils sont surtout une source de déchets qui ne peuvent être valorisé par les usagers et donc ils ne sont plus accepté en déchèterie. Cette situation est déjà connue dans le cas des produits issus du second choix de l’industrie. Du point de vue du texte cela devient le cas même pour des cuves neuves en plastique rigide qui seront un déchet encombrant, car elles doivent participer à un circuit de valorisation . Ce sont ces deux points que la loi va définitivement limiter en mise en décharge.

Loi anti-gaspillage : Que faire des emballages 200 litres bleus et des vieilles cuves plastiques rigides de 1000 litres?

La responsabilité des associations de jardins familiaux sera probablement une question! Sur le plan économique, le recyclage passe par des sociétés spécialisées qu’il faut payer pour la collecte. En effet les futs et les conteneurs ne sont pas démontables sauf avec de lourds moyens et ne peuvent plus être mis en décharge ( même par de petit bouts!). Seul un industriel peut les traiter pour valoriser acier et plastique . Mais dans ce cas le collectif devra assumer des couts!

Alors comment agir sans attendre ?

Emballages industriels en plastique bleu dans les jardins

D’autres types de cuve 1000 litres existent. Par écoconception les avantages sont une fabrication avec 87 % de plastique en moins. Mais surtout leur valorisation et leur recyclage sont simples pour chaque constituant acier et plastique . Ces cuves participent de tous les ODD . Elles sont une pierre à l’édifice de la réduction de l’effet de serre. Par ses choix le jardinier est acteur responsable tout au long de la vie de sa cuve . 

UNPACK

 Imagine, conçois, développe et fabrique en France des cuves qui répondent aux futures exigences de la Loi. Ces réservoirs s’assemblent et se démontent simplement pour valoriser chaque partie. Le réemploi est rapide , le recyclage lui devient un jeu d’enfant sans collecte payante. Les jardins pourront ainsi continuer d’être une lieu d’agrément sans emballages industriels  à éliminer et à supporter financièrement . L’eau de pluie peut longtemps être une source de vie en partage pour toutes les plantes et êtres vivants: UNPACK contribue à leur sauvegarde.

Cacher une cuve à eau 1000 litres, enfin la solution!

C’est l’hiver, la végétation a disparu aussi bien dans les potagers que dans les jardins familiaux, cacher une cuve à eau est difficile. Tous les réservoirs sont à nu!
Ces conteneurs industriels de couleur ou de forme rarement esthétique sont devenus d’affreux ornements du quotidien. Si leur utilité est certaine, certains problèmes posent questions ! Aussi comment :
Cacher une cuve à eau de 1000 litres ?
– Habiller un récupérateur d’eau de pluie ?
– Intégrer le réemploi d’un conteneur industriel IBC en fin de vie ?
– Développer un visuel agréable dans un esprit durable ?

habiller récupérateur eau de pluie
Cuve 1000 Litres UNPACK

Cacher une cuve à eau, comment?

La raison fondamentale, c’est qu’elle n’est pas faite pour être esthétique . Ces produits sont tous en plastique rigide. Ils sont faits pour l’industrie pétrochimique. Cet ultime réemploi, après plusieurs cycles d’usage avec des produits chimiques très techniques, n’est pas prévu dans la conception des cuves. En conséquence, seul un très bon bricoleur peut installer un camouflage esthétique et durable. Une autre solution est possible afin que ces spectacles insolites s’adaptent pour l’agrément d’un espace végétal naturel!

Habiller pour cacher votre conteneur, UNPACK® c’est simple!

UNPACK®, par son innovation, apporte une solution qui répond à toutes ces questions. Il devient trés facile de cacher une cuve à eau et d’agrémenter le jardin ou le potager. La cuve 1000 litres UNPACK® est un produit en kit préparé et qui s’assemble en 5 minutes. Sa structure par son concept breveté est un simple « CUBE » ce qui permet un habillage bois pratique. UNPACK® propose des panneaux paysagers standards en bois traité. La fixation est extrêmement facile tout en restant amovible en quelques secondes. Les nombreux avantages facilitent l’habillage d’un récupérateur d’eau de pluie à tout moment et partout.

UNPACK®, la réponse pour cacher une cuve à eau

Tous les problèmes habituels des autres réservoirs n’existent plus grâce à notre solution :
> Placer et fixer rapidement sur 2 à 5 faces en fonction du besoin
> Habiller avec un parement bois traité ou choisir de lasurer
> Agrémenter l’espace du jardin et de ses abords
> Protéger plus complétement contre le rayonnement UV
> Limiter l’influence de la lumière et réduire la présence des algues
> Maintenir l’eau plus tempérée en été
> Visualiser le niveau de l’eau de façon rapide
> Résister durablement aux conditions météorologiques
> Etre totalement durable et recyclable

Cacher une cuve 1000 litres en toute saison
UNPACK un kit simple


Cuve d’eau 1000 litres sans le superflu, avec l’indispensable et l’habillage bois esthétique en plus!

Les jardins potagers ou familiaux ainsi que les espaces publics nous habituent à des rencontres insolites. Des emballages industriels sont présents dans le paysage. Par la proximité des jardins urbains et des industries de transformation, des entreprises de récupération et de ré-usages de conteneurs développent une économie. Celle-ci est la base pour répondre au besoin de cuve 1000l « pas cher » à usage de récupération d’eau de pluie . Pour un jardin, une cuve extérieure doit se fondre dans le décor. Alors l’habillage bois est indispensable.

Pour les reconditionneurs des emballages concernés, l’origine garantie pour un contact sain et quasi alimentaire avec l’eau est impossible. Cela conduit les distributeurs professionnels à refuser la vente pour un usage des cuves uniquement lavées. Le coût de la cuve de 1000 litres devient beaucoup plus élevé pour l’usager car elle est remplacée par une poche plastique neuve. Cette contrainte est surmontable pour l’acquéreur, mais il doit alors accepter le coût additionnel du transport pour ce très volumineux emballage. Dans ce cas son jardin est équipé d’un réservoir, mais il restera nu et sans habillage!

Une cuve 1000l esthétique par son habillage bois, c’est possible et facile !

Cuve 1000 litres sur parpaings et son habillage bois

Le besoin d’un réservoir sûr résolu par la cuve de réemploi, elle reste encombrante et lourde. Un problème subsiste, la vue dans un environnement naturel et esthétique est à construire totalement. En effet, si les très nombreux conteneurs industriels restent nus et ainsi visibles de tous, c’est qu’ils peu adaptés. Techniquement ils sont fastidieux à habiller et le cout financier est important. UNPACK® a développé la cuve 1000 litres pas cher et simple comme un conteneur sans le superflu mais avec l’indispensable. La cuve de 1000 litres est imaginée, conçue et fabriquée pour se placer sur 4 parpaings et son habillage bois devient un jeu d’enfant.

L’approche d’écoconception conduit à privilégier des solutions de composants simples et standards avec des matières aux caractéristiques sûres et éprouvées. Ces combinaisons permettent de proposer un produit modulaire qui offre de très nombreuses solutions : une cuve de 1000 l pas cher, simple et esthétique avec son habillage bois. Le pin sylvestre traité classe II est un matériau suffisant. Cependant des habillages plus nobles en épicéa ou acacia peuvent être réalisés de façon toute aussi simple. UNPACK utilise des coupes de bois écoresponsables issues de forets ayant reçues les labels PEFC et FSC.

Conteneurs  » IBC/GRV » recyclés, doit-on en avoir peur pour les jardins familiaux et potagers?

Ré_emploi IBC (Isére)
IBC/GRV industriels en ré-usage,une situation d’éco-solution ou d’ économie avant tout?

Comme les données publiques l’indiquent, plus d’un million de conteneurs de 1.000 litres sont fabriqués par an en France. Ces IBC/GRV (désignation internationale) sont à l’origine issus exclusivement de l’histoire industrielle de l’Allemagne et des Etats-Unis il y a plus de 50 ans.

Les IBC ou Grands Conteneurs Vracs ( GRV ), initialement à usage unique, ont été depuis plus d’une décennie les grands gagnants – en termes de leur développement économique – face aux autres emballages industriels bien connus que sont les fûts en acier. Des CONTENEURS sont ,avant tout, des unités de conditionnement, de transport et de stockage. Ils sont très appréciés dans les industries chimiques, pétrochimiques ou dérivées ainsi que dans la pharmacie, la cosmétologie ou l’agroalimentaire. Ce sont avant tout – par définition légale de l’ADR* et de l’ADEME* – des emballages industriels classés qui peuvent avoir rencontré une diversité de produits dangereux pour l’homme, la faune et la biodiversité ! De fait, en fin de vie, ils sont classifiés en tant que déchet comme DID (Déchets Industriels Dangereux) et doivent recevoir un traitement adapté et contrôlé pour le recyclage et donc la destruction, ce qui parfois constitue une quantité importante de déchets ultimes.

Industriels et particuliers, le besoin n’est pas identique!

A l’aune de l’augmentation des quantités de ces emballages industriels, des entreprises se sont structurées pour leur recyclage après la collecte, le transport et  le traitement des déchets récupérés . Celles-ci proposent dans la démarche vertueuse de l‘économie circulaire un ré-emploi ou un ré-usage et organisent la destruction contrôlée de nombre de ces conteneurs industriels. Si la filiére du ré-emploi vers des activités adaptées est de l’intérêt des professionnels de la chimie et de ses dérivés qui possèdent le potentiel d’un système de contrôle qualité ……,par contre pour des particuliers ou des associations de jardins familiaux ou collectifs la capacité de s’informer sur la réalité sera souvent très opaque. Pourquoi?

Quelle réalité pour un réemploi de cuve IBC/GRV industrielle?

La matière première des cuves est une matiére plastique au nom de PE( polyéthylène) qui a de très nombreuses qualités. Cependant, elle garde la mémoire des produits conditionnés au travers de sa porosité et cela malgré de puissants lavages mécaniques à chaud. Aussi aucun des revendeurs professionnels et de renom ne propose un IBC/GRV recyclé et lavé comme une cuve 1000 litres pour récupération d’eau ( Référence en exemple : la société Fidel/Fillaud). Économiquement l’intérêt d’un prix très bas semble présent car les industriels de la distribution via des entreprises spécialisées en retraitement et  certifiées peuvent proposées des produits avec une certaine traçabilité.

La vente de particulier à particulier, un risque ?

Mais des réseaux parallèles ce sont mis en place et des sites de vente en ligne de particulier à particulier(PAP) peuvent proposés des IBC/GRV comme cuves d’occasion pas cher ! Il est évident qu’aucune identification ne sera fournie et donc bien des suppositions peuvent être faites. Ces usages de récupérateurs d’eau de pluie sont à déconseiller pour des jardins potagers. En effet la « phytoextraction » d’un nombre important de plantes potagères et ornementales est un fait avéré. Leur croissance dépend de ces apports d’éléments nutritifs transportés par l’eau d’infiltration. L’eau contenue  dans les IBC/GRV sera un support de dilution du reste des précédents produits conditionnés et  elle sera distribuée vers les plantes au travers de leurs réseaux racinaires. Les racines étant souvent un élément de stockage des nutriments ( radis, navets, carottes etc.),mais c’est aussi la partie comestible recherchée par le jardinier ou le consommateur .

Association de jardins familiaux ou collectifs : Quel choix?

A l’évidence un IBC/GRV recyclé et pourvu d’un certificat de poche PE neuve doit être la bonne option pour une vraie éco-solution. Mais la sécurité au jardin a un prix surtout pour un usage avec le stockage de l’eau pendant une longue période d’hiver par exemple. Cependant  économiquement le produit  ainsi reconditionné est beaucoup plus onéreux pour des Associations de Jardins Familiaux ou collectifs ou des particuliers, prix auquel un coût de transport de ce volume vide est un ajout  .

UNPACK® propose une autre solution. Le concept  breveté de la marque permet un remplacement de la partie souillée du conteneur . Le récipient intérieur certifié alimentaire peut être changé très facilement par l’utilisateur. Nul besoin d’une entreprise certifiée pour un recyclage. UNPACK® fournit une poche souple avec un traçabilité irréprochable de la matière et l’utilisateur qui devient un acteur responsable. Dans ces conditions  le prix du ré-emploi du conteneur  est réduit par 3. Un autre avantage significatif d’ UNPACK® face aux autres propositions du marché! Le conteneur de 1000 litres comme cuve simple, pliable, pas cher devient un vraie éco-solution pour un engagement responsable pour les impacts environnementaux et humains.

ADR: Accord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par route ( Réglementation contrôlée par le Ministère de la Transition Écologique et des Transports)

ADEME : Agence de la transition écologique