IBC Bag-in-Box pliable : Vingt millions de litres d’eau préservés

Cinq ans déjà qu’ UNPACK vous accompagne!


Face aux conditions climatiques exigeantes en France, Belgique et Suisse,
UNPACK a prouvé sa résistance et confirmé les fondamentaux de son brevet .

IBC Bag-in-Box pliable 1000 litres :

  • Montage simple et sans outil
  • Installation en tout lieu grâce à un colis compact et léger (24kg)
  • Conteneur non gélif, sans besoin de vidange hivernale
  • Protection anti-UV et absence de développement d’algues
  • Haute résistance à la perforation
  • Poche interne facilement remplaçable
  • Poche en matière vierge et origine garantie pour le contact alimentaire sans PFAS*
  • Design bois esthétique qui s’intègre dans tous les environnements paysagés
UNPACK 5 ans déjà : IBC Bag-in-Box dans les jardins associatifs du Lyonnais et de la Xaviére

Vingt millions de litres d’eau déjà préservés ….et ce n’est qu’un début !

Grace à vous, 20 millions de litres d’eau ont été préservés d’un prélèvement sur le réseau d’eau potable. Un geste concret pour protéger cette ressource précieuse.

Cap sur 100 millions de litres (cent millions)

Le récupérateur eau pluie 1000 l UNPACK anticipe l’enjeu des sécheresses !

Les pluies d’hiver aident à anticiper les sécheresses pour tous les types de plantations. Le récupérateur eau pluie 1000 l régule ces pluies saisonnières et capte les averses intenses d’été.

Les prévisions météo annoncent un printemps 2025 très sec en France. La chaleur arrive plus tôt que prévu et l’Espagne a déjà déclaré l’urgence hydrique. Certains parlent d’une sécheresse historique. La production de fruits sera touchée et le tourisme souffre déjà. Les hôtels doivent réduire leur consommation d’eau potable de 40% sous peine d’amende.

Jardiner malgré la sécheresse ?

Peut-on encore faire vivre un jardin ou un potager dans ces conditions ? Dans les régions avec des pluies déjà déficitaires comme l’Occitanie, la sécurité alimentaire devient une vraie préoccupation d’autant que la similitude avec l’Espagne s’installe.

L’eau potable sert d’abord à l’alimentation humaine et à l’hygiène. Pourtant, seulement 3% de l’eau sur terre est potable. En Espagne, l’eau utilisable se trouve de plus en plus en profondeur. Le rapport du GIEC est clair : le sud de la France fera face à des sécheresses de plus en plus fréquentes.

Pour préserver l’eau, on peut pailler les sols ou utiliser l’infiltration lente comme avec les Oyas. Mais encore faut-il avoir de l’eau disponible !

En ville, l’eau de pluie est souvent négligée alors qu’elle est une ressource précieuse. Utiliser un récupérateur eau pluie 1000l permet de s’adapter aux sécheresses en réservant l’eau potable aux besoins essentiels.

Des actions simples avec un récupérateur eau pluie 1000 l UNPACK !

Installation d' une cuve eau de pluie UNPACK sous pluviale dans un jardin partagé à Lyon
Installation d’un récupérateur d’eau de pluie UNPACK au « Vert Luizet » commune de Villeurbanne ( 69100)

Les jardins partagés s’équipent de réservoirs de plus en plus grands. Le récupérateur eau pluie 1000l devient un standard, comme dans les jardins du Lyonnais et de la Xaviére. Pourtant, les collectivités sont encore hésitantes, notamment à cause des craintes liées aux plastiques recyclés aux effets pernicieux dans le temps. Dans les zones urbaines denses, il faut des réservoirs de grande capacité qui restent discrets et faciles à entretenir. Un entretien adapté évite aussi le développement des moustiques

Le choix du récupérateur eau pluie 1000 l UNPACK

Facile à installer, abordable et durable, le récupérateur eau pluie 1000 l UNPACK est garanti 3 ans. Deux réservoirs adossés à un cabanon de 12 m² peuvent collecter jusqu’à 8 m³ d’eau par an ! De plus, ils peuvent s’intégrer au paysage pour un effet esthétique.

En choisissant un récupérateur eau pluie 1000 l, vous faites un geste pour l’environnement tout en économisant sur votre consommation d’eau potable. Pourquoi attendre ? Adoptez cette solution responsable dès aujourd’hui !

Le récupérateur d’eau en plastique: réduire cette matière pour des jardins plus responsables!

La raison et la pression médiatique poussent à dire : « OUI, il le faut ! »

Une tache de grande ampleur avec des couts financiers nous attend. Pourquoi? Une action est-elle possible? Oui, mais laquelle?

Jardins familiaux dans le Vaucluse: Des cuves IBC/GRV comme autant d’histoires industrielles pour de l’eau

Un des matériels le plus commun dans un jardin est la cuve, qu’elle soit un simple réservoir d’appoint  (généralement un fut bleu tronqué) ou un récupérateur d’eau de pluie. Or depuis 25 ans, ces cuves sont à 95% en plastique.

Les chiffres sont parlants car ils donnent l’ampleur de la présence de ces produits dispersés dans le domaine public ou privé. L’INSEE  recense 17 millions de jardins adossés à des résidences. Les associations nationales référentes de Jardins Familiaux et Collectifs (par exemple FNJFC et CNJCF) indiquent que le nombre de jardins gérés est de 200 000 (en 2019) avec statistiquement une moyenne de 20 lots ou parcelles par jardin collectif.

La France serait donc une terre riche de 21 millions de parcelles où le végétal peut se développer. Comme l’on trouve en moyenne 20% de parcelles avec un récupérateur d’eau en plastique, il existe donc 4 millions de réservoirs de 200 à 1200 litres. Quel énorme stock pour la France. Or dans 90% des cas ce sont des réservoirs en plastique de type PP ou PEHD. Or ces cuves ont pour la plus grande partie déjà servi, c’est donc un réemploi vertueux !

Il s’agit au minimum de 20 000 tonnes de plastique d’emballage qui ont  déjà produit  40 000 tonnes de CO2. C’est colossal même si cela s’étale sur plusieurs années.

Que  peut-on faire maintenant  d’un récupérateur d’eau en plastique ?

Ces réservoirs peuvent être de nouveau, récupérés, collectés puis transportés, ensuite triés, lavés et déchiquetés pour devenir des granulés de plastique.  Mais c’est là une belle histoire.  Ce sont des emballages impossible à réintroduire en déchetterie publique par l’utilisateur, surtout si ce sont des IBC/GRV de 1000 litres. A eux seuls ce sont des déchets . Des professionnels experts évaluent leur part à 500 000 unités soit 10 000 tonnes de plastique. Donc eux seuls ont contribué à 20 000 tonnes de CO2. Et surtout leur part ne cesse d’augmenter avec la vente sur des réseaux peut soucieux de la traçabilité. Ces chiffres sont sous-estimés vu le nombre considérable de ces conteneurs qui se retrouvent  à demeure dans la nature.

Ces IBC/GRV sont des emballages, la récupération est donc prévue  par un  Ecolabel?

Les industriels fabricants d’emballages – dont la récupération de leurs produits relève de leur responsabilité – doivent avoir une solution avec leur LIFE CYCLE SERVICE. C’est la seule option avec une collecte spécialisée. Elle est nécessaire pour ces produits qui pèsent 50 kg l’unité et ne peuvent se manutentionner à la main. En effet la contrepartie de la collecte et ses couts, se trouvera dans le gain de la matière recyclée et vendue pour réaliser de nouveaux produits.

Pourquoi n’y-a-t-il pas de recyclage des conteneurs IBC/GRV utilisés dans les jardins et qui sont en fin de vie?

Car avant d’obtenir des granulés ré employables avec des emballages aussi vieux, de très nombreux travaux sont à réaliser. Les couches internes de déchets végétaux sont à décaper mécaniquement, des cages  en acier déformées et rouillées à désassembler manuellement. De très nombreuses heures de démontage, de  tri et de lavage à très haute pression seront nécessaires. Or comme les cages acier ont mal vieilli, elles ne seront pas ré-employables . Pour ce qui est du PEHD, l’action des UV ,les peintures de masquage, les trop-pleins métalliques à démonter etc. vont rendre le temps technique beaucoup trop cher pour l’industriel . La conclusion sera le broyage grossier des conteneurs IBC/GRV plastique pour une destruction vers un incinérateur de cimenterie.

Le cycle vertueux des IBC/GRV s’arrête. La fin de vie est lourde en empreinte carbone additionnelle sans nouvel usage de la matière plastique. La peur de ces déchets s’installe, à ce jour il n’y a pas aucune proposition de  récupération !

Quel récupérateur d’eau en plastique existe  face à ces besoin de transition plus responsables pour les parties prenantes des jardins?

Il faut traiter l’existant qui sera des déchets, mais avant tout ne pas accroitre cette situation au travers des besoins croissants de récupérateur d’eau en plastique. Le citoyen comprend que l’eau potable sera limitée aux usages vitaux. Il faut donc stocker la ressource naturelle de l’eau de pluie pour tous les nouveaux jardins créés. Par ailleurs  l’équipement des résidences secondaires se développe en  PACA et Occitanie , régions qui seront touchées par la répétition des sécheresses. Les conclusions du rapport du GIEC en donne toute l’importance.

Ces contraintes exacerbées par le besoin de sécurité  en ressource d’eau donnent en moyenne une croissance de 5 % par an. Ce seront 200.000 récupérateurs d’eau en plastique par an de tout type qui seront  des déchets pour les générations futures défigureront souvent le paysage.

La solution de cuve 1000 litres UNPACK permet de s’affranchir  de toutes les contraintes.

Ce récupérateur d’eau est produit avec 80% de plastique en moins . Cette matière est utilisée exclusivement pour le besoin de réserve d’eau étanche, alimentaire et à petit prix. Il se place dans un espace réduit pour une installation   sans contrainte  ni de transport ni de manutention. L’ empreinte carbone est réduite de 85%  avec un recyclage évident des 2.3 kg de plastique en déchèterie agréée . En complément une esthétique pour un environnement végétalisé et donc apporte un agrément visuel.

Récupérateur d'eau UNPACK adapté à des jardins familiaux dans le Vaucluse. Une cuve avec 85% d'empreinte carbone en moins
Jardins dans le Vaucluse: Cuve 1000 litres UNPACK , moins de plastique et de l’esthétique en plus (Vue adaptée)

Collecter les eaux de pluie, utile et bien plus!

Collecter les eaux de pluie en zone urbaine ,un fondamental de qualité et de sécurité
Collecteur d’eaux de ruissellement Rue historique du Château de Grimaud (84310)

Collecter les eaux de pluie, une action de citoyen du monde!

Collecter les eaux de pluie des toitures ou de ruissellement au sol est une action qui devient encore plus un acte à fort impact pour la qualité de vie . Cette attitude agit sur de nombreux facteurs qui ne sont pas que la part de l’autonomie alimentaire par l’usage de l’eau pour l’arrosage des cultures. Cela contribue à la sécurité d’autrui et préserve la qualité de cette richesse.

Aussi, collecter les eaux de pluie et les stocker peut devenir une action simple, rapide et efficace . En conséquence, nos réactions de citoyens, d’élus ou d’industriels face à des enjeux toujours plus mise au devant de l’actualité deviennent nécessaires et utiles à tous.

Le récent rapport du GIEC nous en apporte tout le sens et l’importance d’agir vite. Ce type d’études approfondies ne va pas intéresser un grand nombre des citoyens. Des médias ont titrés sur l’état de la planète en matière de changement climatique et sur les prévisions à 30 ans. Ils utilisent l’emphase pour l’urgence d’actions. Un nombre important de celles-ci à l’échelle des états sont présentent dans ce rapport pour guider les décideurs. Cependant elles relèvent d’ orientations, de directives à prendre, de règlements ou lois à faire appliquer ou voter. Le citoyen responsable n’a pas à attendre ces injonctions qui entretiennent sa passivité. La sagesse peut nous éclairer :

Quand un homme à faim, il vaut mieux lui apprendre à pécher, que de lui donner du poisson.

Confucius

Enjeux éducatifs et sociétaux du bon usage de l’eau

Certes l’usage de l’énergie fossile sources de GES (Gaz à Effet de Serre)mais aussi de l’émancipation de l’homme doit s’adapter au contexte du réchauffement climatique. Mais l’éducation à la connaissance du cycle de l’eau est un fondamental tout autant que les sciences physiques, les langues ou l’éducation sportive. L’eau issue de la pluie est un de ces éléments simples à enseigner dans tous ses différents aspects, ceci afin de rendre évident de nombreux comportements d’adulte responsable .

Des moyens de base peuvent faciliter la bonne quantité , la bonne qualité et un bon renouvellement de l’eau de pluie. Les solutions collectives ou individuelles sont à l’ échelle de ce chacun peut développer, décider ou réaliser.

Par sa nature l’eau de pluie possède une qualité parfaite ce qui permet de l’utiliser pour un stockage individuel sans autre artifice avec des cuves 1000 litres UNPACK® . D’un point de vue de la collectivité et par collecte elle peut largement contribuer à des usages de lutte contre l’incendie , d’irrigation étagée , de noues d’infiltration ou de marres d’abreuvage. Cependant comme elle peut tout simplement se diriger vers la mer, chacun par civisme peut contribuer comme à Grimaud ou Collioure. Cette éducation au respect de ce qu’une pollution peut engendrer, cela donne des bons résultats ( article France Bleu).

Chaque usage a son développement de moyens adaptés. Le jardinier peut collecter les eaux de pluie et utiliser la cuve 1000 litres UNPACK® comme récupérateur d’eau de pluie. Les jardins potagers, nos communes et villes à végétaliser sont autant de lieux ou de nouveaux système de réserves d’eau qui vont devoir s’installer pour des usages ponctuels ou d’agréments .

Agir pour anticiper l’intensification du cycle de l’eau : GIEC 2021

Comme le rapport du GIEC l’indique le cycle de l’eau sera encore plus modifié, particulièrement en défaveur de l’Europe de L’Ouest et plus encore pour le pourtour méditerranéen. Moins de précipitations et surtout une perte d’humidité des sols plus rapide sont d’ importantes conséquences à anticiper.

Du plus simple et économique comme la cuve 1000 litres UNPACK® au plus complexe comme un bassin d’orage, il est important de développer des réflexes d’usages et de sauvegarde de l’eau. L’humanité a pu se développer sans énergie fossile mais pas sans eau.

UNPACK® offre des options de montage technique de système en série horizontale ou d’assemblage gerbé. La conception brevetée pour l’usage en tant que conteneur industriel testé permet des économies de place très conséquentes mais surtout une garantie de sécurité .

Collecter l'eau de pluie, Un montage XXL pour immeuble résidentiel à Bordeaux
Installation de 8 cuves UNPACK Résidence les Aubiers à Bordeaux Maritime pour collecter les eaux de pluie sur un toit terrasse d’immeuble

Récupérateur d’eau de pluie: Le type de cuve peut-il être aussi un choix plus écologique?

Développement des jardins partagés, un récupérateur d’eau de pluie plus écologique pour limiter le changement climatique, est-ce possible?

Les jardins partagés sont des espaces naturels. Leurs développements sont souhaités et facilités par un financement pour l’action associative locale (France relance/ LyonCapitale). Avant tout, l’environnement doit y est adapté pour l’épanouissement des productions de fruits et légumes. L’empreinte carbone (Définition Novethic) y est très faible ce qui est une évidence. Ce résultat est appréciable au travers du soin des jardiniers pour leurs parcelles. Mais c’est aussi un équilibre qui compense les effets des gaz à effet de serre pour des activités individuelles dans d’autres domaines familiaux.

Cependant, dans un environnement si naturel, un récupérateur d’eau de pluie est commode mais pas si « écologique » que cela. Il est à l’opposé d’une contribution positive au changement climatique dans cet espace vertueux. Les récupérateurs d’eau de pluie sont en plastique dur. Pour 20 kg de cette matiére qui constitue un IBC de 1000 litres l’empreinte carbone est de 270 kg de CO2 ( ou d’empreinte carbone )en plus . Le jardinier ou le promeneur font le même constat : ce sont des solutions de commodités en plastique rigide sans agrément esthétique. On peut même y reconnaitre parfois la marque de la succursale d’une industrie chimique  ou l’ancien produit contenu tellement ils sont visibles !

Un choix forcé pour le jardinier !

Le réservoir de 1000 litres type IBC est à bien des égards très utile pour son volume. En outre, la palette généralement en bois permet de le hisser sur un support. A cet instant, il devient un totem industriel qui orne sans aucun agrément le cabanon en bois. Pour ce qui est des emballages de 200 litres en matière plastique bleue, une fois ouverts, ils peuvent être des réserves d’appoint. Leur poids permet de les déplacer facilement au sol et la matière est imputrescible. Par contre, les larves de moustiques adorent la surface libre de l’eau pour se développer. Donc ces conteneurs ont des avantages et de nombreuses contraintes.

Réservoirs d’eau offrant le gite aux larves de moustiques

A ce jour c’est donc un choix forcé pour le jardinier : le réservoir le plus grand pour le prix le plus réduit !
Est-ce à dire que tous les autres inconvénients de ces produits sont ignorés :

  • Absence de garantie qu’un réservoir recyclé n’ait été en contact avec des produits nocifs
  • Aucun transport facile ni livraison pratique avec une faible émission de C02
  • Pas de résistance au gel sans vidange hivernale
  • Nul habillage facile pour lutter contre la chaleur et le développement des algues
  • Pas d’agrément paysagé pour un environnement naturel
  • Pas de limitation du développement des moustiques
  • Des contraintes de destruction pour le recyclage avec un tri compliqué des matières
  • Peu d’écoconception à visée responsable

Budget serré et choix d’un type de récupérateur d’eau de pluie plus écologique : comment le jardinier peut agir ?

Un jardinier consciencieux peut décider d’acheter une cuve neuve. Cependant elle restera un emballage industriel dont l’empreinte écologique est énorme. Les sources des sites officiels établissent qu’un français produit 9,9 tonnes de CO2 par an. Un jardin partagé de 40 parcelles équipées de conteneur IBC sera donc un nouvel impact d’une année entière  de production d’un jardinier de ce gaz à effet de serre .  Il est admis pour tenir les engagements de limitation de la progression des températures à 1.5°c que cette empreinte carbone doit diminuer d’un facteur 2 pour 2030. Alors comment au sein des jardins apporter une autre contribution  à cette réduction?

Quelle solution simple, responsable, esthétique existe pour un environnement végétal et avec un coût raisonnable. La réflexion ne peut s’arrêter sur le tonneau en bois, il est idéalement écologique mais très cher pour un faible volume. Alors que peut-on imaginer ?

Une cuve 1000 litres simple, pas cher, pliable.

UNPACK® a pensé, conçu, développé et fabrique une solution innovante, sûre et économique, c’est une réserve d’eau de pluie de 1000 litres à visée plus écologique et écoresponsable.

La conception de la cuve 1000 litres  utilise les qualités indispensables du plastique  mais avec juste le nécessaire de 2.4kg de matière de qualité alimentaire, soit une diminution de 84% de plastique. Le réservoir présente une très grande facilité de montage et par un habillage facile et sobre, il se place de façon harmonieuse dans un environnement naturel que sont généralement les jardins.

Cuve 1000 litres démontable réparable et recyclable
Cuve 1000 litres habillée pour un environnement harmonieux

Le récupérateur d’eau de pluie plus écologique est d’un ré-usage évident et le recyclage est immédiat pour une valorisation en déchèterie si la concession des jardins n’est pas renouvelée. Cette option doit etre une réflexion initiale car le cout de la destruction sera à financer. Participer à la limitation du réchauffement climatique en ayant des actions plus écoresponsables

L’objectif est de faciliter à tous l’accès à cet équipement construit sans superflu mais avec l’indispensable. L’eau de pluie peut ainsi être un usage plus  large pour les bienfaits des jardins, de la diversité du monde végétal  donc des êtres humains. Le cycle de vie des produits est souvent en lien avec celui des hommes et des organisations. Cette empreinte des produits  ne doit pas peser excessivement sur la collectivité. UNPACK® s’inscrit dans cette démarche et en a fait sa mission pour prendre sa part aux ODD. Participer à la limitation du réchauffement climatique en ayant des actions plus écoresponsables est une part de ce que chacun peut faire pour le partager avec le plus grand nombre.

Jardins partagés dans l’Hérault donc 40 nouvelles parcelles attendent leur récupérateur eau de pluie écoresponsable