Récupérateur d’eau de pluie: Le type de cuve peut-il être aussi un choix plus écologique?

Développement des jardins partagés, un récupérateur d’eau de pluie plus écologique pour limiter le changement climatique, est-ce possible?

Les jardins partagés sont des espaces naturels. Leurs développements sont souhaités et facilités par un financement pour l’action associative locale (France relance/ LyonCapitale). Avant tout, l’environnement doit y est adapté pour l’épanouissement des productions de fruits et légumes. L’empreinte carbone (Définition Novethic) y est très faible ce qui est une évidence. Ce résultat est appréciable au travers du soin des jardiniers pour leurs parcelles. Mais c’est aussi un équilibre qui compense les effets des gaz à effet de serre pour des activités individuelles dans d’autres domaines familiaux.

Cependant, dans un environnement si naturel, un récupérateur d’eau de pluie est commode mais pas si « écologique » que cela. Il est à l’opposé d’une contribution positive au changement climatique dans cet espace vertueux. Les récupérateurs d’eau de pluie sont en plastique dur. Pour 20 kg de cette matiére qui constitue un IBC de 1000 litres l’empreinte carbone est de 270 kg de CO2 ( ou d’empreinte carbone )en plus . Le jardinier ou le promeneur font le même constat : ce sont des solutions de commodités en plastique rigide sans agrément esthétique. On peut même y reconnaitre parfois la marque de la succursale d’une industrie chimique  ou l’ancien produit contenu tellement ils sont visibles !

Un choix forcé pour le jardinier !

Le réservoir de 1000 litres type IBC est à bien des égards très utile pour son volume. En outre, la palette généralement en bois permet de le hisser sur un support. A cet instant, il devient un totem industriel qui orne sans aucun agrément le cabanon en bois. Pour ce qui est des emballages de 200 litres en matière plastique bleue, une fois ouverts, ils peuvent être des réserves d’appoint. Leur poids permet de les déplacer facilement au sol et la matière est imputrescible. Par contre, les larves de moustiques adorent la surface libre de l’eau pour se développer. Donc ces conteneurs ont des avantages et de nombreuses contraintes.

Réservoirs d’eau offrant le gite aux larves de moustiques

A ce jour c’est donc un choix forcé pour le jardinier : le réservoir le plus grand pour le prix le plus réduit !
Est-ce à dire que tous les autres inconvénients de ces produits sont ignorés :

  • Absence de garantie qu’un réservoir recyclé n’ait été en contact avec des produits nocifs
  • Aucun transport facile ni livraison pratique avec une faible émission de C02
  • Pas de résistance au gel sans vidange hivernale
  • Nul habillage facile pour lutter contre la chaleur et le développement des algues
  • Pas d’agrément paysagé pour un environnement naturel
  • Pas de limitation du développement des moustiques
  • Des contraintes de destruction pour le recyclage avec un tri compliqué des matières
  • Peu d’écoconception à visée responsable

Budget serré et choix d’un type de récupérateur d’eau de pluie plus écologique : comment le jardinier peut agir ?

Un jardinier consciencieux peut décider d’acheter une cuve neuve. Cependant elle restera un emballage industriel dont l’empreinte écologique est énorme. Les sources des sites officiels établissent qu’un français produit 9,9 tonnes de CO2 par an. Un jardin partagé de 40 parcelles équipées de conteneur IBC sera donc un nouvel impact d’une année entière  de production d’un jardinier de ce gaz à effet de serre .  Il est admis pour tenir les engagements de limitation de la progression des températures à 1.5°c que cette empreinte carbone doit diminuer d’un facteur 2 pour 2030. Alors comment au sein des jardins apporter une autre contribution  à cette réduction?

Quelle solution simple, responsable, esthétique existe pour un environnement végétal et avec un coût raisonnable. La réflexion ne peut s’arrêter sur le tonneau en bois, il est idéalement écologique mais très cher pour un faible volume. Alors que peut-on imaginer ?

Une cuve 1000 litres simple, pas cher, pliable.

UNPACK® a pensé, conçu, développé et fabrique une solution innovante, sûre et économique, c’est une réserve d’eau de pluie de 1000 litres à visée plus écologique et écoresponsable.

La conception de la cuve 1000 litres  utilise les qualités indispensables du plastique  mais avec juste le nécessaire de 2.4kg de matière de qualité alimentaire, soit une diminution de 84% de plastique. Le réservoir présente une très grande facilité de montage et par un habillage facile et sobre, il se place de façon harmonieuse dans un environnement naturel que sont généralement les jardins.

Cuve 1000 litres démontable réparable et recyclable
Cuve 1000 litres habillée pour un environnement harmonieux

Le récupérateur d’eau de pluie plus écologique est d’un ré-usage évident et le recyclage est immédiat pour une valorisation en déchèterie si la concession des jardins n’est pas renouvelée. Cette option doit etre une réflexion initiale car le cout de la destruction sera à financer. Participer à la limitation du réchauffement climatique en ayant des actions plus écoresponsables

L’objectif est de faciliter à tous l’accès à cet équipement construit sans superflu mais avec l’indispensable. L’eau de pluie peut ainsi être un usage plus  large pour les bienfaits des jardins, de la diversité du monde végétal  donc des êtres humains. Le cycle de vie des produits est souvent en lien avec celui des hommes et des organisations. Cette empreinte des produits  ne doit pas peser excessivement sur la collectivité. UNPACK® s’inscrit dans cette démarche et en a fait sa mission pour prendre sa part aux ODD. Participer à la limitation du réchauffement climatique en ayant des actions plus écoresponsables est une part de ce que chacun peut faire pour le partager avec le plus grand nombre.

Jardins partagés dans l’Hérault donc 40 nouvelles parcelles attendent leur récupérateur eau de pluie écoresponsable

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