Les pluies de printemps servent à anticiper cet enjeu pour tous les types de plantation. Le récupérateur d’eau de pluie assure cette fonction de régulation pour ces pluies saisonnières. Mais aussi pour capter les pluies intenses et ponctuelles des orages.
Or déjà des faits d’actualités annoncent un été 2022 avec des sécheresses installées dans de nombreux départements. Même la précocité des chaleurs hors normes est présente sur l’hexagone. Certains experts parlent d’une sécheresse historique qui aura un effet sur la production des denrées alimentaires et s’ajoutera aux prix déjà élevés.
Est-ce encore possible de faire vivre un jardin ou un potager dans une région avec peu de pluie alors que ce sont des zones dans lesquelles le niveau de pluie annuel est habituellement élevé : La part de sécurité alimentaire qui y est liée devient alors une grande inquiétude !
L’eau potable disponible a d’abord une fonction sanitaire et d’alimentation humaine, ce qui est vital. Or, seulement 3% de l’eau présente sur terre est une eau potable. Les zones en cours d’aridification avec de l’eau utilisable, mais en très grande profondeur, augmentent déjà en Espagne. Le rapport du Giec est précis sur les conséquences pour le sud de la France. Les sécheresses vont aller en augmentant.
Adapter sa gestion de l’eau est possible et responsable
Des solutions simples sont connues pour protéger les sols de l’évaporation, comme le paillage. La distribution de la ressource d’eau par infiltration lente est une technique développée dans bien des zones méditerranéennes avec les Oyas, mais faut-il avoir de l’eau disponible. Quand la sécheresse s’installe, ce sont la quantité des récoltes alimentaires qui deviennent un enjeu face au prix des fruits et légumes touchés par l’inflation.
Mais en milieu urbain, cette ressource est négligée voire est une grande gêne. Mais c’est avant tout une richesse immense !
Outre l’effet régulateur de la température, c’est une ressource considérable pour s’adapter aux conséquences des sécheresses. L’eau du réseau public qui est potable se réserve à des besoins stricts de consommation, d’hygiène et de sécurité.
Des actions simples, des impacts responsables pour l’humain et la collectivité : des récupérateurs d’eau de pluie UNPACK !
Les jardins partagés, familiaux ou communautaires commencent à s’équiper pour prendre possession d’une part la plus importante. Ils s’équipent de volumes de plus en plus grand et le récupérateur d’eau de pluie de 1000 litres devient un standard (exemple d’un des jardins partagés historique de Lyon « Le Vert Luizet »). Cependant les collectivités ou bailleurs sociaux restent encore en retrait pour favoriser cet essor. Les produits disponibles sont souvent très peu écoresponsables à leurs yeux. Sur des zones à forte concentration urbaine, la collecte en volume doit être proportionnelle aux besoins. Donc des plus gros volumes de récupération sont nécessaires tout en restant discrets et paysagés avec un très faible entretien. Une attention toute particulière sera nécessaire pour ces produits afin de lutter contre le développement des larves de moustiques.
Les références de ces récupérateurs d’eau de pluie pas chers et faciles à installer sont disponibles. Ils apportent de réels impacts pour l’éco-responsabilité mais aussi pour l’ensemble des Objectifs de Développements Durables (ODD).
Des impacts ce sont des réservoirs UNPACK de 1000 litres qui ont ce pouvoir d’action concret. Deux réservoirs UNPACK adossés à un cabanon de 12 m2 (à 2 pentes), peuvent collecter en moyenne 6 m3 d’eau de pluie. Et rien n’interdit de les rendre paysagers à peu de frais !