Une certaine résilience alimentaire passera-t-elle par un complément d’autonomie apporté par le potager individuel!

Toute résilience fait appel à une réaction basée sur l’utilisation de nos propres capacités cachées pour agir afin de limiter les effets d’un état d’urgence ou de stress important. Si par ailleurs nos besoins fondamentaux sont tout particulièrement affectés par une situation à forte charge émotionnelle, l’individu va puiser dans ses savoirs fondamentaux acquis pour éviter que la cause ne soit de nouveau présente. Se nourrir et pour une part en autonomie est selon Abraham MASLOW une des bases des éléments indispensables à l’espèce humaine. Or dans l’après de la pandémie à maladie de coronavirus, ce facteur psychologique de résilience alimentaire pourrait amplifier un certain renouveau des jardins potagers individuels ou des jardins familiaux.

La métropolisation a fait naître des enjeux alimentaires, environnementaux et sanitaires. Pour les légumes et fruits ceux-ci ont trouvé leurs solutions par des circuits de distribution vers le marché ouvert, le primeur ou la grande/moyenne surface. Ces produits de base furent par ailleurs agrémentés et protégés par de multiples emballages, bien que parfois avec une emphase de fioriture marketing qui ne s’accorde pas avec le caractère naturel. Cette sécurité liée à la fois à des facteurs de distance lié aux lieux de production et la main d’oeuvre parfois indisponible ou hétérogène pénalise le consommateur au regard du coût. Ce point est d’autant augmenté si le besoin de produits « BIO » devient un réflexe pour échapper aux circuits de la distribution et à ses multiples manipulations. Si la pénurie peut ne pas être présente par de nouvelles solutions de distribution facilitée pour des producteurs locaux ( article de FRANCE INFO) https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-risque-t-on-une-penurie-de-fruits-et-legumes-frais-en-raison-de-l-epidemie-de-covid-19_3885625.html, tout un chacun n’aura pas, aprés le confinement de ce début 2020 ,la même approche confiante au système sans faille !!.

La base de la résilience alimentaire : le potager

Développer une surface de son jardinet, de sa cour ou de sa terrasse pour lui affecter un rôle de potager permet de répondre à ses besoins d’autonomie, de réaction résiliente, de plaisir du fait maison et de soucis de frais. Cette approche sera facilitée car les solutions sont nombreuses au travers des tutoriels de jardinage. Si cette démarche convient pour quelques pieds de tomates, plantes aromatiques ou fraisiers, il sera par contre difficile de nourrir une famille de 4 personnes. L’association de quartier, le syndic de propriétaires ou un jardin familial sera un groupement qui saura libérer sur une surface à partager les énergies du groupe. Ce besoin de concret répond à ces défis amplifiés. La part de recherche de sécurité, d’autonomie, de réappropriation à minima du vital et de naturel est la concrétisation de cet enjeux: la résilience alimentaire.

En conclusion, cet espace naturel de proximité, ajouté à la dimension psychologique d’agir pour son autonomie par un part de « Bio » maîtrisé devrait correspondre à cette étape de reconstruction post pandémie 2020. Il restera encore à entretenir le développement de ces cultures réappropriées par la source d’eau la plus adaptée. Tout aussi pertinent un des besoins fondamentaux sera celui de devenir en partie autonome avec l’eau de pluie, et cela ferra sens pour ces potagers. Les conteneurs de tout type pour stocker l’eau de pluie seront une forme de réserve elle aussi  de sécurité. Aussi  installer facilement une cuve de 1000 litres à usage de récupérateur d’eau de pluie, simple, résistant, économique, c’est le conteneur en kit, modulaire et pliable uniquement proposé par UNPACK . Cet esprit de responsabilité, de simplicité associée à la fiabilité sont les valeurs portées par les produits de cette marque née d’une innovation française.

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