Tous les professionnels de la filière horticole l’indiquent, la période 2020 et ses confinements ont fait explosés les achats de plans et d’arbres fruitiers. Est-ce le cas pour le matériel tel qu’un réservoir d’eau de pluie ?
Des nouvelles résurgences de pandémie et la résilience associée font émerger pour 2021 un besoin de plus d’autonomie alimentaire pour les citoyens. Le potager se trouve donc de nouveau comme un centre d’intérêt(Le monde-Jardinage.fr).
Cette activité va très vite être confrontée à l’entretien régulier de l’espace végétal mais surtout à la discipline de l’apport d’eau dès les premières plantations.
Un réservoir d’eau de pluie, utile?
Un réservoir d’eau de pluie à défaut d’un réseau d’alimentation est une nécessité. Le cout de l’eau tout autant que la corvée de l’eau deviennent des contraintes.
La démarche qui consiste à rechercher un peu de liberté et de plaisir à cout modique par ce potager se trouve face à l’exigence de l’apport d’eau .
Le réservoir d’eau de pluie sous forme de cuve de stockage s’affirme comme la solution pour disposer aux moments choisis de cette ressource aléatoire. L’installation de ce type de réservoir fonctionnel est immédiatement confrontée à des contraintes. Trois points guident le choix :
Un grand Volume Une bonne résistance aux conditions météorologiques Un prix réduit
Dans 99 % des solutions, la conséquence industrielle est une cuve rigide en matière plastique! Ces solutions conçues il y a plus de 30 ans ont introduit de nombreux problèmes.
UNPACK® conçoit, fabrique et commercialise un réservoir d’eau de pluie qui est la simple solution pour résoudre les problèmes et oublier les contraintes.
Un prix réduit
Une manutention aisée
Une livraison possible en véhicule personnel sans frais
Une adaptation du volume sans vidange en hiver ( hors zone montagne)
Un réusage, ou un réemploi naturel
Un recyclage rapide avec le démontage simple et le tri évidents
La plus faible empreinte carbone du cycle de vie complet du produit
L’agrément visuel du jardin par l’intégration paysagère
C’est l’hiver, la végétation a disparu aussi bien dans les potagers que dans les jardins familiaux, cacher une cuve à eau est difficile. Tous les réservoirs sont à nu! Ces conteneurs industriels de couleur ou de forme rarement esthétique sont devenus d’affreux ornements du quotidien. Si leur utilité est certaine, certains problèmes posent questions ! Aussi comment : – Cacher une cuve à eau de 1000 litres ? – Habiller un récupérateur d’eau de pluie ? – Intégrer le réemploi d’un conteneur industriel IBC en fin de vie ? – Développer un visuel agréable dans un esprit durable ?
Cuve 1000 Litres UNPACK
Cacher une cuve à eau, comment?
La raison fondamentale, c’est qu’elle n’est pas faite pour être esthétique . Ces produits sont tous en plastique rigide. Ils sont faits pour l’industrie pétrochimique. Cet ultime réemploi, après plusieurs cycles d’usage avec des produits chimiques très techniques, n’est pas prévu dans la conception des cuves. En conséquence, seul un très bon bricoleur peut installer un camouflage esthétique et durable. Une autre solution est possible afin que ces spectacles insolites s’adaptent pour l’agrément d’un espace végétal naturel!
Habiller pour cacher votre conteneur, UNPACK® c’est simple!
UNPACK®, par son innovation, apporte une solution qui répond à toutes ces questions. Il devient trés facile de cacher une cuve à eau et d’agrémenter le jardin ou le potager. La cuve 1000 litres UNPACK® est un produit en kit préparé et qui s’assemble en 5 minutes. Sa structure par son concept breveté est un simple « CUBE » ce qui permet un habillage bois pratique. UNPACK® propose des panneaux paysagers standards en bois traité. La fixation est extrêmement facile tout en restant amovible en quelques secondes. Les nombreux avantages facilitent l’habillage d’un récupérateur d’eau de pluie à tout moment et partout.
UNPACK®, la réponse pour cacher une cuve à eau
Tous les problèmes habituels des autres réservoirs n’existent plus grâce à notre solution : > Placer et fixer rapidement sur 2 à 5 faces en fonction du besoin > Habiller avec un parement bois traité ou choisir de lasurer > Agrémenter l’espace du jardin et de ses abords > Protéger plus complétement contre le rayonnement UV > Limiter l’influence de la lumière et réduire la présence des algues > Maintenir l’eau plus tempérée en été > Visualiser le niveau de l’eau de façon rapide > Résister durablement aux conditions météorologiques > Etre totalement durable et recyclable
Les jardins potagers ou familiaux ainsi que les espaces publics nous habituent à des rencontres insolites. Des emballages industriels sont présents dans le paysage. Par la proximité des jardins urbains et des industries de transformation, des entreprises de récupération et de ré-usages de conteneurs développent une économie. Celle-ci est la base pour répondre au besoin de cuve 1000l « pas cher » à usage de récupération d’eau de pluie . Pour un jardin, une cuve extérieure doit se fondre dans le décor. Alors l’habillage bois est indispensable.
Pour les reconditionneurs des emballages concernés, l’origine garantie pour un contact sain et quasi alimentaire avec l’eau est impossible. Cela conduit les distributeurs professionnels à refuser la vente pour un usage des cuves uniquement lavées. Le coût de la cuve de 1000 litres devient beaucoup plus élevé pour l’usager car elle est remplacée par une poche plastique neuve. Cette contrainte est surmontable pour l’acquéreur, mais il doit alors accepter le coût additionnel du transport pour ce très volumineux emballage. Dans ce cas son jardin est équipé d’un réservoir, mais il restera nu et sans habillage!
Une cuve 1000l esthétique par son habillage bois, c’est possible et facile !
Cuve 1000 litres sur parpaings et son habillage bois
Le besoin d’un réservoir sûr résolu par la cuve de réemploi, elle reste encombrante et lourde. Un problème subsiste, la vue dans un environnement naturel et esthétique est à construire totalement. En effet, si les très nombreux conteneurs industriels restent nus et ainsi visibles de tous, c’est qu’ils peu adaptés. Techniquement ils sont fastidieux à habiller et le cout financier est important. UNPACK®a développé la cuve 1000 litres pas cheret simple comme un conteneur sans le superflu mais avec l’indispensable. La cuve de 1000 litres est imaginée, conçue et fabriquée pour se placer sur 4 parpaings et son habillagebois devient un jeu d’enfant.
L’approche d’écoconception conduit à privilégier des solutions de composants simples et standards avec des matières aux caractéristiques sûres et éprouvées. Ces combinaisons permettent de proposer un produit modulaire qui offre de très nombreuses solutions : une cuve de 1000 l pas cher, simple et esthétique avec son habillage bois. Le pin sylvestre traité classe II est un matériau suffisant. Cependant des habillages plus nobles en épicéa ou acacia peuvent être réalisés de façon toute aussi simple. UNPACK utilise des coupes de bois écoresponsables issues de forets ayant reçues les labels PEFC et FSC.
IBC/GRV industriels en ré-usage,une situation d’éco-solution ou d’ économie avant tout?
Comme les données publiques l’indiquent, plus d’un million de conteneurs de 1.000 litres sont fabriqués par an en France. Ces IBC/GRV (désignation internationale) sont à l’origine issus exclusivement de l’histoire industrielle de l’Allemagne et des Etats-Unis il y a plus de 50 ans.
Les IBC ou Grands Conteneurs Vracs ( GRV ), initialement à usage unique, ont été depuis plus d’une décennie les grands gagnants – en termes de leur développement économique – face aux autres emballages industriels bien connus que sont les fûts en acier. Des CONTENEURS sont ,avant tout, des unités de conditionnement, de transport et de stockage. Ils sont très appréciés dans les industries chimiques, pétrochimiques ou dérivées ainsi que dans la pharmacie, la cosmétologie ou l’agroalimentaire. Ce sont avant tout – par définition légale de l’ADR* et de l’ADEME* – des emballages industriels classés qui peuvent avoir rencontré une diversité de produits dangereux pour l’homme, la faune et la biodiversité ! De fait, en fin de vie, ils sont classifiés en tant que déchet comme DID (Déchets Industriels Dangereux) et doivent recevoir un traitement adapté et contrôlé pour le recyclage et donc la destruction, ce qui parfois constitue une quantité importante de déchets ultimes.
Industriels et particuliers, le besoin n’est pas identique!
A l’aune de l’augmentation des quantités de ces emballages industriels, des entreprises se sont structurées pour leur recyclage après la collecte, le transport et le traitement des déchets récupérés . Celles-ci proposent dans la démarche vertueuse de l‘économie circulaire un ré-emploi ou un ré-usage et organisent la destruction contrôlée de nombre de ces conteneurs industriels. Si la filiére du ré-emploi vers des activités adaptées est de l’intérêt des professionnels de la chimie et de ses dérivés qui possèdent le potentiel d’un système de contrôle qualité ……,par contre pour des particuliers ou des associations de jardins familiaux ou collectifs la capacité de s’informer sur la réalité sera souvent très opaque. Pourquoi?
Quelle réalité pour un réemploi de cuve IBC/GRV industrielle?
La matière première des cuves est une matiére plastique au nom de PE( polyéthylène) qui a de très nombreuses qualités. Cependant, elle garde la mémoire des produits conditionnés au travers de sa porosité et cela malgré de puissants lavages mécaniques à chaud. Aussi aucun des revendeurs professionnels et de renom ne propose un IBC/GRV recyclé et lavé comme une cuve 1000 litres pour récupération d’eau ( Référence en exemple : la sociétéFidel/Fillaud). Économiquement l’intérêt d’un prix très bas semble présent car les industriels de la distribution via des entreprises spécialisées en retraitement et certifiées peuvent proposées des produits avec une certaine traçabilité.
La vente de particulier à particulier, un risque ?
Mais des réseaux parallèles ce sont mis en place et des sites de vente en ligne de particulier à particulier(PAP) peuvent proposés des IBC/GRV comme cuves d’occasion pas cher ! Il est évident qu’aucune identification ne sera fournie et donc bien des suppositions peuvent être faites. Ces usages de récupérateurs d’eaude pluie sont à déconseiller pour des jardins potagers. En effet la « phytoextraction » d’un nombre important de plantes potagères et ornementales est un fait avéré. Leur croissance dépend de ces apports d’éléments nutritifs transportés par l’eau d’infiltration. L’eau contenue dans les IBC/GRV sera un support de dilution du reste des précédents produits conditionnés et elle sera distribuée vers les plantes au travers de leurs réseaux racinaires. Les racines étant souvent un élément de stockage des nutriments ( radis, navets, carottes etc.),mais c’est aussi la partie comestible recherchée par le jardinier ou le consommateur .
Association de jardins familiaux ou collectifs : Quel choix?
A l’évidence un IBC/GRV recyclé et pourvu d’un certificat de poche PE neuve doit être la bonne option pour une vraie éco-solution. Mais la sécurité au jardin a un prix surtout pour un usage avec le stockage de l’eau pendant une longue période d’hiver par exemple. Cependant économiquement le produit ainsi reconditionné est beaucoup plus onéreux pour des Associations de Jardins Familiaux ou collectifs ou des particuliers, prix auquel un coût de transport de ce volume vide devra être ajouté .
UNPACK® propose une autre solution. Le concept breveté de la marque permet un remplacement de la partie souillée du conteneur . Le récipient intérieur certifié alimentaire peut être changé très facilement par l’utilisateur. Nul besoin d’une entreprise certifiée, la sécurité est assurée par la fourniture d’ UNPACK®et par l’utilisateur qui devient un acteur responsable. Dans ces conditions le prix du ré-emploi du conteneur est réduit par 3. Un autre avantage significatif d’ UNPACK® face aux autres propositions du marché! Le conteneur de 1000 litres comme cuve simple, pliable, pas cher devient un vraie éco-solution pour un engagement responsable pour les impacts environnementaux et humains.
ADR: Accord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par route ( Réglementation contrôlée par le Ministère de la Transition Écologique et des Transports)
Toute résilience fait appel à une réaction basée sur l’utilisation de nos propres capacités cachées pour agir afin de limiter les effets d’un état d’urgence ou de stress important. Si par ailleurs nos besoins fondamentaux sont tout particulièrement affectés par une situation à forte charge émotionnelle, l’individu va puiser dans ses savoirs fondamentaux acquis pour éviter que la cause ne soit de nouveau présente. Se nourrir et pour une part en autonomie est selon Abraham MASLOW une des bases des éléments indispensables à l’espèce humaine. Or dans l’après de la pandémie à maladie de coronavirus, ce facteur psychologique de résilience alimentaire pourrait amplifier un certain renouveau des jardins potagers individuels ou des jardins familiaux.
La métropolisation a fait naître des enjeux alimentaires, environnementaux et sanitaires. Pour les légumes et fruits ceux-ci ont trouvé leurs solutions par des circuits de distribution vers le marché ouvert, le primeur ou la grande/moyenne surface. Ces produits de base furent par ailleurs agrémentés et protégés par de multiples emballages, bien que parfois avec une emphase de fioriture marketing qui ne s’accorde pas avec le caractère naturel. Cette sécurité liée à la fois à des facteurs de distance lié aux lieux de production et la main d’oeuvre parfois indisponible ou hétérogène pénalise le consommateur au regard du coût. Ce point est d’autant augmenté si le besoin de produits « BIO » devient un réflexe pour échapper aux circuits de la distribution et à ses multiples manipulations. Si la pénurie peut ne pas être présente par de nouvelles solutions de distribution facilitée pour des producteurs locaux ( article de FRANCE INFO) https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-risque-t-on-une-penurie-de-fruits-et-legumes-frais-en-raison-de-l-epidemie-de-covid-19_3885625.html, tout un chacun n’aura pas, aprés le confinement de ce début 2020 ,la même approche confiante au système sans faille !!.
La base de la résilience alimentaire : le potager
Développer une surface de son jardinet, de sa cour ou de sa terrasse pour lui affecter un rôle de potager permet de répondre à ses besoins d’autonomie, de réaction résiliente, de plaisir du fait maison et de soucis de frais. Cette approche sera facilitée car les solutions sont nombreuses au travers des tutoriels de jardinage. Si cette démarche convient pour quelques pieds de tomates, plantes aromatiques ou fraisiers, il sera par contre difficile de nourrir une famille de 4 personnes. L’association de quartier, le syndic de propriétaires ou un jardin familial sera un groupement qui saura libérer sur une surface à partager les énergies du groupe. Ce besoin de concret répond à ces défis amplifiés. La part de recherche de sécurité, d’autonomie, de réappropriation à minima du vital et de naturel est la concrétisation de cet enjeux: la résilience alimentaire.
En conclusion, cet espace naturel de proximité, ajouté à la dimension psychologique d’agir pour son autonomie par un part de « Bio » maîtrisé devrait correspondre à cette étape de reconstruction post pandémie 2020. Il restera encore à entretenir le développement de ces cultures réappropriées par la source d’eau la plus adaptée. Tout aussi pertinent un des besoins fondamentaux sera celui de devenir en partie autonome avec l’eau de pluie, et cela ferra sens pour ces potagers. Les conteneurs de tout type pour stocker l’eau de pluie seront une forme de réserve elle aussi de sécurité. Aussi installer facilement une cuve de 1000 litres àusage de récupérateur d’eau de pluie, simple, résistant, économique, c’est le conteneur en kit, modulaire et pliable uniquement proposé par UNPACK . Cet esprit de responsabilité, de simplicité associée à la fiabilité sont les valeurs portées par les produits de cette marque née d’une innovation française.
Un « champ » de rêve ou le ré-usage des emballages industriels: Une vision tout en contraste pour quelle issue environnementale?
De nouveau entr’ouverts à nos yeux, les jardins familiaux endormis voient éclore les taches de couleurs des toutes premières fleurs .Ainsi ,des jaunes , des oranges ou des rouges et très rarement du bleu viennent à agrémenter notre vision de futurs pour des espaces végétal accueillant récoltes et moments partagés en famille .Cependant , des teintes frappent par leur présence avec un spectacle fort en couleur dans cet espace éco responsable et apaisé qui entoure une nature ligneuse .Le bleu y est devenu très mode !
Nul doute, ce sont des récipients, vétuste présence dont une première vie fut honorable et homologuée .La supply chain des produits industriels qu’ils ont contenus en avait acté les vertus .Lavés, rincés puis coupés ces contenants sont un ré usage pour le stockage de l’eau. Elle provient souvent de la pluie à collecter et stocker en réserve tampon .Ainsi ces futs et tonneaux deviennent des récupérateurs aériens de la plus ancienne des sources de vie ! Mais ce phénomène de masse c’est amplifié car cette matière plastique teintée a remplacé le métal dont la nature première avait tendance à rendre fuyard les futs en fer dès la première rouille installée. Est-ce une autre vie durable qui commence pour ces emballages industriels ou une étape vers qu’elle issue ?
Ces ex « emballages industriels » restent des produit à base de plastique de type PEHD ou PP .En tant que tel ce sont des déchets à recycler qui au terme de la convention de concession du lieu concerné ou du jardin partagé seront à traiter .Le particulier, l’association et souvent la collectivité choisiront via une collecte ce qui ne peut aller en déchetterie par nature de matériaux si le tri sélectif a été développé car il n’est plus rare de voir des IBC ( Intermediate Bulk Container) adossé aux constructions !.Un cout qui est à assumer.
L’image contemporaine des jardins familiaux ou des espaces partagés pour de l’agriculture urbaine ne devraient-ils pas été respectés par des cuves d’écoconception esthétique à faible empreinte carbone et à ré usage avec des déchets ciblés minimum ?
Libérer les jardins familiaux du poids du passé!
En effet, toute une partie de la filière du recyclage oriente vers ce possible pour un ré usage. L’économie solidaire très présente en ces lieux de partage cherche souvent ces seuls aspects « discount » . Or la genèse de ces emballages fut aux antipodes de l’éco conception il y a plus de 50 ans maintenant. Par ailleurs, remettre à neuf après la première utilisation un emballage industriel nécessite une forte charge de traitement lessiviel pour accéder à de tels réemplois. De production, en transport et espace de stockage puis recyclage par action thermique et chimique une très importante empreinte carbone de 15 à 30 kgCo2 (pour 100 litres de conditionnement en PP, PE ou GRV composite) est générée .Certes si une forme de « close loop » particulièrement présente dans le milieu industriel existe car économiquement liée au cycle des emballages neufs et en diminue le poids de 40 % (ADEME Bilan GES Sept 2017) . Les couts sont supportés par la totalité de la chaine de valeur des industriels interdépendants, mais dans le cas de ces associations à but non lucratifs il n’est pas certain qu’ils puissent en porter à terme la charge sociétale différée !
La demande étant présente les besoins sont aussi satisfaits par des produits neufs dédiés. Ils sont parfois adossés à des nouveautés en végétalisation intégrées tout en restant de très volumineuses enveloppes sophistiquées creuses mais rigides. Ce sont là de nouveaux meubles de jardin qui certes ont une réponse marketing adossée quelle est au besoin contemporain des primo accédant de maison intégrée au plus près de l’espace végétal. Cependant c’est une réponse de sur-ajustement au besoin fondamental du client (« Overshooting » en termes économiques ) .D’autant que si le propriétaire oubli la vidange de l’eau avant l’hiver ….il est certain que le gel lui se chargera de la mise en forme ! Et l’application connectée diriez-vous pour penser à tout ? Oui mais elle aussi à un cout et une empreinte carbone des serveurs qui l’alimente !
Les contenants contemporains de grand volume devenus de banals commodités sont de plus en plus présent pour répondre aussi aux espaces végétalisés, ce printemps sous ses rayons nous le montre, pendant que la GSB se fend de promos pour des jarres de 600 litres aux formes helléniques.
Oui, cette part du rêve s’oppose à la réalité. Quelle est donc l’innovation d’eco-conception avec des fondamentaux simples qui permettent de limiter pour sa plus faible partie possible l’empreinte carbone de ces contenants ?
Il reste ces « champs » ou l’agriculture « urbaine » ferra peut être éclore l’attente d’autre chose, et de surement frugal ! Cette vision qui ne peut être avec zéro de tout déchet et de toute empreinte carbone fait sens dans une époque à construire avec une vraie économie circulaire. Alors les sirènes du second choix industriels recyclés ne seront plus les seules options. Des associations référentes de jardins familiaux, des jardiniers ou citoyens pourront faire un choix solidaire .
Alors a quand moins de…… 5kgCo2 (au 100 litres) ?, tout en laissant le « bois » loin de ce domaine industriel ,car il donne déjà de sa personne dans bien des sujets !