UNPACK: Le Défi des PFAS pour une Eau Potable Sans Compromis sur la Qualité et la Traçabilité »

La triple sécurité de la réserve d'eau potable UNPACK de 1000 litres

Le Défi des PFAS.

À l’ère où la conscience environnementale guide nos choix, la question des substances toxiques éternelles (PFAS) dans les conteneurs et réservoirs en plastique recyclé suscite des préoccupations légitimes. Chez UNPACK le défi des PFAS , concerne des mesures significatives pour offrir une alternative fiable et sûre, particulièrement dans notre dernière innovation : les réserves d’eau potable de 1000 litres.

Les PFAS, substances toxiques éternelles présentes dans de nombreux produits plastiques, soulèvent des inquiétudes quant à leur impact sur la santé et l’environnement. Dans notre dernier article, nous explorons en profondeur les origines de ces composés et les risques potentiels qu’ils posent lorsqu’ils sont utilisés dans des contenants alimentaires, tels que les réservoirs d’eau de pluie.

Les substances toxiques éternelles : Article complet sur le défi du plastique recyclé.

La Complexité du Recyclage :

Notre solution de 1000 litres repose sur une approche éco-conception, privilégiant des matériaux homologués et une sobriété des produits. UNPACK s’engage à offrir des solutions durables sans compromis sur la qualité, apportant une tranquillité d’esprit à ceux qui recherchent une réserve d’eau potable fiable et responsable.

L’Engagement envers la Santé et la Durabilité.

Notre solution de réserve d’eau potable de 1000 litres repose sur une approche éco-conception, privilégiant des matériaux homologués et une sobriété des produits. UNPACK s’engage à offrir des solutions durables sans compromis sur la qualité, apportant une tranquillité d’esprit à ceux qui recherchent une réserve d’eau potable fiable et responsable.

Face aux défis liés aux plastiques recyclés et aux préoccupations croissantes liées aux PFAS, UNPACK se positionne comme la réponse inébranlable. Nous croyons en la création de produits durables, sûrs et respectueux de l’environnement. Faites le choix de la qualité avec UNPACK et vous aurez une eau potable sans compromis .

Sécurité et propreté chimique des cuves IBC/GRV de 1000 litres recyclées:

Quels sont vos doutes ou vos craintes au moment du choix?

Quelques questions se posent pour tout futur utilisateur au sujet de la sécurité et de la propreté chimique des cuves IBC/GRV de 1000 litres recyclées. Un système complet de récupération d’eau de pluie avec ce type de réservoir de seconde main est-il sûr ? 

  • La cuve d’occasion lavée et recyclée est-elle chimiquement saine ?
  • L’odeur de détergent dans la cuve est-elle un bon signe de propreté ?
  • Le lavage à haute pression est-il suffisant pour éliminer des polluants ? 
  • Le certificat d’origine du produit précédemment conditionné existe-t-il ?
  • Le plastique utilisé un IBC/GRV en chimie est-il le même que pour l’alimentaire ?
Doute sur la propreté et l'absence de polluants chimiques dans le plastique des cuves 
 IBC/GRV de1000 litres de seconde main
Quelles craintes pour la sécurité et la propreté chimique des cuves IBC/GRV de 1000 litres recyclées?

Autant de légitimes interrogations vu que cet ancien IBC/GRV contient l’eau qui sera utilisée dans un jardin. Eau qui sera assimilée au travers du réseau racinaire des plantes et légumes à destination de l’alimentation humaine.

Quelle propreté pour les cuves IBC/GRV 1000 litres lavées ?

En effet, le plastique en contact avec des anciens produits chimiques conditionnés garde la trace de son histoire. Celle de la fabrication mais aussi une part pas toujours négligeable des molécules du précédent liquide. Alors, ce peut être le cas des conteneurs IBC/GRV de qualité non alimentaire et qui peuvent avoir des porosités de surface. La haute pression du lavage est seulement la garantie pour des futurs usages par des professionnels de l’industrie. Ils ont la compétence pour réaliser des contrôles qualité à réception de leurs achats.

D’autant qu’une récente et documentée étude de l’IPEN publiée par le journal « Le Monde » indique très clairement que le plastique recyclé pose questions.

Des produits tels que le Bisphénol A (perturbateur endocrinien), des stabilisateurs de lumière UV, des retardateurs de feu sont très largement présents. Ils sont à exclure pour un long contact avec l’eau. A ce titre, toutes les sociétés de vente d’emballages reconditionnés de type IBC/GRV s’interdisent de proposer des cuves de réemploi lavées pour le stockage d’eau. C’est pour elles une éthique responsable très respectueuse vis à vis de leurs clients.

Quelle sécurité pour les cuves IBC/GRV 1000 litres recyclées ?

Donc pour un conteneur de réemploi, la cuve neuve en plastique de type PEHD s’impose. La sécurité et la propreté chimique des cuves IBC/GRV de 1000 litres recyclées sont des propriétés fondamentales en vue d’un usage au jardin. Dans ce cas, les industriels qui fabriquent cette cuve, doivent utiliser de la matière d’origine certifiée. Ce niveau de qualité garantit le contact avec l’eau. En effet, l’étude IPEN citée le met en évidence par les résultats des laboratoires. Les lots de plastique recyclés et réutilisés qui sont issus de l’industrie du retraitement des déchets de PEHD sont un véritable cheval de Troie !!!

Les polluants cités plus haut sont présents. Il est important que ces plastiques se valorisent exclusivement vers les produits de type : poubelles, pots de fleurs ou des palettes plastiques. Mais la nécessité du réemploi toujours plus important de matière recyclée s’impose pour le cycle vertueux du recyclage. Les labels issus des réglementations favorisent cette part de mélange avec de la matière première neuve ( rPEHD, rPP, etc.). Mais si et seulement si le taux de polluant est acceptable et contrôlé par un industriel certifié ISO 22000 ou ISO 9001 à minima .

C’est une évidence ces polluants sont bien présents ! Le doute s’installe donc clairement autour de certaines cuves neuves plutôt à bas coût. Elles sont généralement constituées d’une part importante de matière recyclée. C’est d’autant le cas quand la matière vierge d’origine augmente, comme en 2021, et impacte de 50% son prix d’achat !

Quel choix est donc à faire ?

  1. Premiére option, un conteneur IBC/GRV de réemploi avec une cuve neuve ayant un certificat du fabricant qui prouve l’agrément FDA*ou ANSES* de sa matière plastique de fabrication. C’est donc fournir une traçabilité parfaite de l’origine de la matière vierge. La recherche de cette option sur les sites de vente est donc à faire avant l’achat.
  2. Deuxiéme option, un conteneur qui possède par construction un matériau pour le contact de tous les produits alimentaires et donc l’eau. Celui-ci existe, c’est le PELD souple qui est utilisé pour cette propriété pour des poches d’emballages . Nous le connaissons pour les produits de grande consommation dans les surfaces commerciales mais aussi dans les cuves 1000 litres pliables  des industriels de l’agroalimentaire.

UNPACK® le choix de la sécurité pour les cuves d’eau de 1000 litres

Les cuves et conteneurs 1000 litres CIBC/GRV pliables d’UNPACK ont par écoconception la double obligation d’être écoresponsables et alimentaires .

UNPACK® utilise seulement 2.3 kg de plastique face au 15.5 kg d’un ancien IBC/GRV, la partie de réemploi du plastique recyclé est dans la couche externe ; celle-ci est totalement dissociée dans la cuve. En effet c’est un BigBag en Polypropyléne (PP) qui ne sera jamais en contact avec l’eau de remplissage. La couche interne de seulement 1.2 kg de LDPE est une garantie absolue d’hygiène et de propreté. Un certificat FDA* est disponible. Une absence de polluants contenus dans les matières plastiques recyclées est garantie . La matière première de ce matériau est tracée et certifiée depuis nos fabricants européens et chaque conteneur d’UNPACK est identifié.

Poche souple en PEBD dans une cuve UNPACK

UNPACK® place la sécurité comme une priorité afin de garantir ses cuves pour un usage de l’eau au jardin . C’est un impératif de qualité. La cuve 1000 litre d’ UNPACK® simple, pas cher et pliable se doit avant tout d’être très sûre pour le meilleur emploi du jardinier ou d’un utilisateur avisé .

Questionnez-nous sur vos besoins en cuves, nous vous répondrons sous 48 heures .

FDA : Food and Drug Administration, c’est la référence internationale qui est responsable de la protection et de la promotion de la santé publique par le contrôle et la supervision de la sécurité alimentaire, des compléments alimentaires, des médicaments des aliments pour animaux et des produits vétérinaires entre autre.

ANSES: l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail , instance scientifique indépendante, exerce des missions d’évaluation des risques, de référence et de recherche dans les domaines de la santé humaine, animale et végétale.

Le récupérateur d’eau en plastique: réduire cette matière pour des jardins plus responsables!

La raison et la pression médiatique poussent à dire : « OUI, il le faut ! »

Une tache de grande ampleur avec des couts financiers nous attend. Pourquoi? Une action est-elle possible? Oui, mais laquelle?

Jardins familiaux dans le Vaucluse: Des cuves IBC/GRV comme autant d’histoires industrielles pour de l’eau

Un des matériels le plus commun dans un jardin est la cuve, qu’elle soit un simple réservoir d’appoint  (généralement un fut bleu tronqué) ou un récupérateur d’eau de pluie. Or depuis 25 ans, ces cuves sont à 95% en plastique.

Les chiffres sont parlants car ils donnent l’ampleur de la présence de ces produits dispersés dans le domaine public ou privé. L’INSEE  recense 17 millions de jardins adossés à des résidences. Les associations nationales référentes de Jardins Familiaux et Collectifs (par exemple FNJFC et CNJCF) indiquent que le nombre de jardins gérés est de 200 000 (en 2019) avec statistiquement une moyenne de 20 lots ou parcelles par jardin collectif.

La France serait donc une terre riche de 21 millions de parcelles où le végétal peut se développer. Comme l’on trouve en moyenne 20% de parcelles avec un récupérateur d’eau en plastique, il existe donc 4 millions de réservoirs de 200 à 1200 litres. Quel énorme stock pour la France. Or dans 90% des cas ce sont des réservoirs en plastique de type PP ou PEHD. Or ces cuves ont pour la plus grande partie déjà servi, c’est donc un réemploi vertueux !

Il s’agit au minimum de 20 000 tonnes de plastique d’emballage qui ont  déjà produit  40 000 tonnes de CO2. C’est colossal même si cela s’étale sur plusieurs années.

Que  peut-on faire maintenant  d’un récupérateur d’eau en plastique ?

Ces réservoirs peuvent être de nouveau, récupérés, collectés puis transportés, ensuite triés, lavés et déchiquetés pour devenir des granulés de plastique.  Mais c’est là une belle histoire.  Ce sont des emballages impossible à réintroduire en déchetterie publique par l’utilisateur, surtout si ce sont des IBC/GRV de 1000 litres. A eux seuls ce sont des déchets . Des professionnels experts évaluent leur part à 500 000 unités soit 10 000 tonnes de plastique. Donc eux seuls ont contribué à 20 000 tonnes de CO2. Et surtout leur part ne cesse d’augmenter avec la vente sur des réseaux peut soucieux de la traçabilité. Ces chiffres sont sous-estimés vu le nombre considérable de ces conteneurs qui se retrouvent  à demeure dans la nature.

Ces IBC/GRV sont des emballages, la récupération est donc prévue  par un  Ecolabel?

Les industriels fabricants d’emballages – dont la récupération de leurs produits relève de leur responsabilité – doivent avoir une solution avec leur LIFE CYCLE SERVICE. C’est la seule option avec une collecte spécialisée. Elle est nécessaire pour ces produits qui pèsent 50 kg l’unité et ne peuvent se manutentionner à la main. En effet la contrepartie de la collecte et ses couts, se trouvera dans le gain de la matière recyclée et vendue pour réaliser de nouveaux produits.

Pourquoi n’y-a-t-il pas de recyclage des conteneurs IBC/GRV utilisés dans les jardins et qui sont en fin de vie?

Car avant d’obtenir des granulés ré employables avec des emballages aussi vieux, de très nombreux travaux sont à réaliser. Les couches internes de déchets végétaux sont à décaper mécaniquement, des cages  en acier déformées et rouillées à désassembler manuellement. De très nombreuses heures de démontage, de  tri et de lavage à très haute pression seront nécessaires. Or comme les cages acier ont mal vieilli, elles ne seront pas ré-employables . Pour ce qui est du PEHD, l’action des UV ,les peintures de masquage, les trop-pleins métalliques à démonter etc. vont rendre le temps technique beaucoup trop cher pour l’industriel . La conclusion sera le broyage grossier des conteneurs IBC/GRV plastique pour une destruction vers un incinérateur de cimenterie.

Le cycle vertueux des IBC/GRV s’arrête. La fin de vie est lourde en empreinte carbone additionnelle sans nouvel usage de la matière plastique. La peur de ces déchets s’installe, à ce jour il n’y a pas aucune proposition de  récupération !

Quel récupérateur d’eau en plastique existe  face à ces besoin de transition plus responsables pour les parties prenantes des jardins?

Il faut traiter l’existant qui sera des déchets, mais avant tout ne pas accroitre cette situation au travers des besoins croissants de récupérateur d’eau en plastique. Le citoyen comprend que l’eau potable sera limitée aux usages vitaux. Il faut donc stocker la ressource naturelle de l’eau de pluie pour tous les nouveaux jardins créés. Par ailleurs  l’équipement des résidences secondaires se développe en  PACA et Occitanie , régions qui seront touchées par la répétition des sécheresses. Les conclusions du rapport du GIEC en donne toute l’importance.

Ces contraintes exacerbées par le besoin de sécurité  en ressource d’eau donnent en moyenne une croissance de 5 % par an. Ce seront 200.000 récupérateurs d’eau en plastique par an de tout type qui seront  des déchets pour les générations futures défigureront souvent le paysage.

La solution de cuve 1000 litres UNPACK permet de s’affranchir  de toutes les contraintes.

Ce récupérateur d’eau est produit avec 80% de plastique en moins . Cette matière est utilisée exclusivement pour le besoin de réserve d’eau étanche, alimentaire et à petit prix. Il se place dans un espace réduit pour une installation   sans contrainte  ni de transport ni de manutention. L’ empreinte carbone est réduite de 85%  avec un recyclage évident des 2.3 kg de plastique en déchèterie agréée . En complément une esthétique pour un environnement végétalisé et donc apporte un agrément visuel.

Récupérateur d'eau UNPACK adapté à des jardins familiaux dans le Vaucluse. Une cuve avec 85% d'empreinte carbone en moins
Jardins dans le Vaucluse: Cuve 1000 litres UNPACK , moins de plastique et de l’esthétique en plus (Vue adaptée)

Réservoir d’eau de pluie, tous les avantages sans les contraintes

Tous les professionnels de la filière horticole l’indiquent, la période  2020 et ses confinements ont fait explosés les achats de plans et d’arbres fruitiers. Est-ce le cas pour le matériel tel qu’un réservoir d’eau de pluie ?

Des nouvelles résurgences de pandémie et la résilience associée font émerger pour 2021 un besoin de plus d’autonomie alimentaire pour les citoyens. Le potager se trouve donc de nouveau comme un centre d’intérêt(Le monde-Jardinage.fr).

Cette activité va  très vite être confrontée à l’entretien régulier de l’espace végétal mais surtout à la discipline de l’apport d’eau dès les premières plantations.

Un réservoir d’eau de pluie, utile?

Un réservoir d’eau de pluie à défaut d’un réseau d’alimentation est une nécessité. Le cout de l’eau tout autant que la corvée de l’eau deviennent des contraintes.  

La démarche qui consiste à rechercher un peu de liberté et de plaisir à cout modique  par ce potager se trouve face à l’exigence de l’apport d’eau .

Le réservoir d’eau de pluie sous forme de cuve de stockage s’affirme comme la solution pour disposer aux moments choisis de cette ressource aléatoire. L’installation de ce type de réservoir  fonctionnel est immédiatement confrontée à des contraintes. Trois points guident le choix :

Un grand Volume
Une bonne résistance aux conditions météorologiques
Un prix réduit

 Dans 99 % des solutions, la conséquence industrielle est une cuve rigide en matière plastique! Ces solutions conçues il y a plus de 30 ans  ont introduit de nombreux problèmes.

UNPACK® conçoit,  fabrique et commercialise un réservoir d’eau de pluie qui est la simple solution pour résoudre les problèmes et oublier les contraintes.

  1. Un prix réduit
  2. Une manutention aisée
  3. Une livraison possible en véhicule personnel sans frais
  4. Une adaptation du volume sans vidange en hiver ( hors zone montagne)
  5. Un réusage, ou un réemploi naturel
  6. Un recyclage rapide avec le démontage simple et le tri évidents
  7. La plus faible empreinte carbone du cycle de vie complet du produit
  8. L’agrément visuel du jardin par l’intégration paysagère
réservoir d'eau de pluie sur parpaing et son habillage

Conteneurs  » IBC/GRV » recyclés, doit-on en avoir peur pour les jardins familiaux et potagers?

Ré_emploi IBC (Isére)
IBC/GRV industriels en ré-usage,une situation d’éco-solution ou d’ économie avant tout?

Comme les données publiques l’indiquent, plus d’un million de conteneurs de 1.000 litres sont fabriqués par an en France. Ces IBC/GRV (désignation internationale) sont à l’origine issus exclusivement de l’histoire industrielle de l’Allemagne et des Etats-Unis il y a plus de 50 ans.

Les IBC ou Grands Conteneurs Vracs ( GRV ), initialement à usage unique, ont été depuis plus d’une décennie les grands gagnants – en termes de leur développement économique – face aux autres emballages industriels bien connus que sont les fûts en acier. Des CONTENEURS sont ,avant tout, des unités de conditionnement, de transport et de stockage. Ils sont très appréciés dans les industries chimiques, pétrochimiques ou dérivées ainsi que dans la pharmacie, la cosmétologie ou l’agroalimentaire. Ce sont avant tout – par définition légale de l’ADR* et de l’ADEME* – des emballages industriels classés qui peuvent avoir rencontré une diversité de produits dangereux pour l’homme, la faune et la biodiversité ! De fait, en fin de vie, ils sont classifiés en tant que déchet comme DID (Déchets Industriels Dangereux) et doivent recevoir un traitement adapté et contrôlé pour le recyclage et donc la destruction, ce qui parfois constitue une quantité importante de déchets ultimes.

Industriels et particuliers, le besoin n’est pas identique!

A l’aune de l’augmentation des quantités de ces emballages industriels, des entreprises se sont structurées pour leur recyclage après la collecte, le transport et  le traitement des déchets récupérés . Celles-ci proposent dans la démarche vertueuse de l‘économie circulaire un ré-emploi ou un ré-usage et organisent la destruction contrôlée de nombre de ces conteneurs industriels. Si la filiére du ré-emploi vers des activités adaptées est de l’intérêt des professionnels de la chimie et de ses dérivés qui possèdent le potentiel d’un système de contrôle qualité ……,par contre pour des particuliers ou des associations de jardins familiaux ou collectifs la capacité de s’informer sur la réalité sera souvent très opaque. Pourquoi?

Quelle réalité pour un réemploi de cuve IBC/GRV industrielle?

La matière première des cuves est une matiére plastique au nom de PE( polyéthylène) qui a de très nombreuses qualités. Cependant, elle garde la mémoire des produits conditionnés au travers de sa porosité et cela malgré de puissants lavages mécaniques à chaud. Aussi aucun des revendeurs professionnels et de renom ne propose un IBC/GRV recyclé et lavé comme une cuve 1000 litres pour récupération d’eau ( Référence en exemple : la société Fidel/Fillaud). Économiquement l’intérêt d’un prix très bas semble présent car les industriels de la distribution via des entreprises spécialisées en retraitement et  certifiées peuvent proposées des produits avec une certaine traçabilité.

La vente de particulier à particulier, un risque ?

Mais des réseaux parallèles ce sont mis en place et des sites de vente en ligne de particulier à particulier(PAP) peuvent proposés des IBC/GRV comme cuves d’occasion pas cher ! Il est évident qu’aucune identification ne sera fournie et donc bien des suppositions peuvent être faites. Ces usages de récupérateurs d’eau de pluie sont à déconseiller pour des jardins potagers. En effet la « phytoextraction » d’un nombre important de plantes potagères et ornementales est un fait avéré. Leur croissance dépend de ces apports d’éléments nutritifs transportés par l’eau d’infiltration. L’eau contenue  dans les IBC/GRV sera un support de dilution du reste des précédents produits conditionnés et  elle sera distribuée vers les plantes au travers de leurs réseaux racinaires. Les racines étant souvent un élément de stockage des nutriments ( radis, navets, carottes etc.),mais c’est aussi la partie comestible recherchée par le jardinier ou le consommateur .

Association de jardins familiaux ou collectifs : Quel choix?

A l’évidence un IBC/GRV recyclé et pourvu d’un certificat de poche PE neuve doit être la bonne option pour une vraie éco-solution. Mais la sécurité au jardin a un prix surtout pour un usage avec le stockage de l’eau pendant une longue période d’hiver par exemple. Cependant  économiquement le produit  ainsi reconditionné est beaucoup plus onéreux pour des Associations de Jardins Familiaux ou collectifs ou des particuliers, prix auquel un coût de transport de ce volume vide est un ajout  .

UNPACK® propose une autre solution. Le concept  breveté de la marque permet un remplacement de la partie souillée du conteneur . Le récipient intérieur certifié alimentaire peut être changé très facilement par l’utilisateur. Nul besoin d’une entreprise certifiée pour un recyclage. UNPACK® fournit une poche souple avec un traçabilité irréprochable de la matière et l’utilisateur qui devient un acteur responsable. Dans ces conditions  le prix du ré-emploi du conteneur  est réduit par 3. Un autre avantage significatif d’ UNPACK® face aux autres propositions du marché! Le conteneur de 1000 litres comme cuve simple, pliable, pas cher devient un vraie éco-solution pour un engagement responsable pour les impacts environnementaux et humains.

ADR: Accord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par route ( Réglementation contrôlée par le Ministère de la Transition Écologique et des Transports)

ADEME : Agence de la transition écologique

Jardins familiaux: le récupérateur d’eau de pluie, une autre solution?….Rêve ou réalité?

Un « champ » de rêve ou le ré-usage des emballages industriels : Une vision tout en contraste pour quelle issue environnementale ?
Un « champ » de rêve ou le ré-usage des emballages industriels: Une vision tout en contraste pour quelle issue environnementale?

De nouveau entr’ouverts à nos yeux, les jardins familiaux endormis voient éclore les taches de couleurs des  toutes premières fleurs  .Ainsi ,des jaunes , des oranges ou des rouges  et très rarement du bleu viennent à agrémenter notre vision de futurs pour des espaces végétal accueillant récoltes et moments partagés en famille  .Cependant , des teintes frappent par leur présence avec un spectacle  fort en couleur dans cet espace éco responsable et apaisé  qui entoure une nature ligneuse .Le bleu  y est devenu très mode !

Nul doute, ce sont des récipients, vétuste présence dont une première vie fut honorable et homologuée .La supply chain des produits industriels qu’ils ont contenus en avait acté les vertus .Lavés, rincés puis coupés ces contenants sont un ré usage pour le stockage de l’eau. Elle provient souvent de la pluie à collecter et stocker en réserve tampon .Ainsi ces futs et tonneaux deviennent des récupérateurs aériens de  la plus ancienne des sources de vie ! Mais ce phénomène de masse c’est amplifié car cette matière plastique teintée a remplacé le métal dont la nature première avait tendance à rendre fuyard les futs en fer dès la première rouille installée. Est-ce une autre vie durable qui commence pour ces emballages industriels ou une étape vers qu’elle issue ?

Ces ex «  emballages industriels » restent des produit à base de plastique de type  PEHD ou PP .En tant que tel ce sont des déchets à recycler qui au terme de la convention de concession du lieu concerné ou du jardin partagé seront à traiter .Le particulier, l’association et souvent la collectivité choisiront via une collecte  ce qui  ne peut aller en déchetterie par nature de matériaux si le tri sélectif a été développé  car il n’est plus rare de voir des IBC ( Intermediate Bulk Container) adossé aux constructions !.Un cout qui est à assumer.

L’image  contemporaine des jardins familiaux ou des espaces partagés pour de l’agriculture urbaine ne devraient-ils pas été respectés par des cuves d’écoconception esthétique à faible empreinte carbone et à ré usage avec des déchets ciblés minimum ?

Libérer les jardins familiaux du poids du passé!

En effet, toute une partie de la filière du recyclage oriente vers ce possible pour un ré usage. L’économie solidaire très présente en ces lieux de partage cherche souvent ces seuls aspects « discount » .  Or la genèse de ces emballages fut aux antipodes  de l’éco conception il y a plus de 50 ans maintenant. Par ailleurs, remettre à neuf  après la première  utilisation un emballage industriel  nécessite une forte charge de traitement lessiviel pour  accéder à de tels réemplois. De production, en transport et espace de stockage  puis recyclage par action thermique et chimique une très importante   empreinte carbone de 15 à 30 kgCo2 (pour 100 litres de conditionnement en PP, PE ou GRV composite) est générée .Certes si une forme de « close loop »  particulièrement présente dans le milieu industriel existe car économiquement liée au cycle des emballages neufs et en diminue le poids  de 40 % (ADEME Bilan GES Sept 2017) . Les couts sont supportés par la totalité de la chaine de valeur des industriels interdépendants, mais dans le cas de ces associations à but non lucratifs  il n’est pas certain qu’ils puissent en porter à terme la charge sociétale différée !

La demande étant présente les besoins sont aussi satisfaits par des produits neufs dédiés. Ils sont parfois adossés à des nouveautés en végétalisation intégrées tout en restant de très volumineuses enveloppes    sophistiquées creuses mais rigides. Ce sont là de nouveaux meubles de jardin qui certes ont une réponse marketing adossée quelle est au besoin contemporain des primo accédant de maison intégrée au plus près de l’espace végétal. Cependant c’est une réponse de sur-ajustement au besoin fondamental du client (« Overshooting » en termes économiques  ) .D’autant que si le propriétaire oubli la vidange de l’eau  avant l’hiver ….il est certain que le gel  lui se chargera de la mise en forme ! Et l’application connectée diriez-vous pour penser à tout ? Oui mais elle aussi à un cout  et une empreinte carbone des serveurs qui l’alimente !

Les contenants contemporains de grand volume devenus de banals commodités   sont de plus en plus présent pour répondre aussi aux espaces végétalisés, ce printemps sous ses rayons nous le montre, pendant que la GSB se fend  de promos pour des jarres de 600 litres  aux formes helléniques.

Oui, cette part du  rêve s’oppose à la réalité. Quelle est donc  l’innovation d’eco-conception avec des fondamentaux simples qui permettent de limiter pour sa plus faible partie possible l’empreinte carbone de ces  contenants ?

Il reste ces « champs » ou l’agriculture « urbaine » ferra peut être éclore  l’attente d’autre chose, et de surement frugal ! Cette vision qui ne peut être avec zéro de tout déchet et de toute empreinte carbone fait sens dans une époque à construire avec une vraie économie circulaire. Alors  les sirènes du second choix industriels recyclés ne seront plus les seules options. Des associations référentes de jardins familiaux, des jardiniers ou citoyens pourront faire un choix solidaire .

 Alors  a quand moins de…… 5kgCo2 (au 100 litres) ?, tout en laissant le « bois »  loin de ce domaine industriel ,car il donne déjà de sa personne dans bien des sujets !