Développement de jardins partagés ou familiaux!

Légumes régionaux de saison

Participation des collectivités territoriales pour le financement du développement de jardins partagés à hauteur de 80 %!

Le saviez-vous ?

Jardins en culture de printemps / Pierre Bénite (Rhône)

Votre activité associative requiert toujours l’équilibre dans sa trésorerie. Aussi, dès que des améliorations sont nécessaires, le financement du développement de jardins partagés deviennent un vrai casse-tête. Cela peut concerner un besoin de matériel, d’aménagement de parcelles, d’installation technique ou l’étude du sol d’une friche industrielle pour s’agrandir. Le Ministère de l’Agriculture retient un budget important de 30 Millions d’Euros dans le cadre du plan de relance suite à la crise sanitaire.

Toutes infos ici : Appel à projet pour les jardins partagés

Qui sont les structures concernées ?

Vous êtes le responsable et l’animateur d’une association de jardin, il vous reste quelques mois pour déposer votre dossier sur le site de la préfecture concernée. Voici  quelques liens régionaux en exemple :  

  • Occitanie (jusqu’à fin octobre 2021) : lien ici
  • Bretagne (jusqu’à fin septembre 2021) : lien ici
  • Ile de France ( jusqu’à fin septembre 2021) : lien ici
  • Auvergne Rhône-Alpes (jusqu’à fin juillet 2021) : lien ici
  • Provence Alpes Cote d’Azur (jusqu’à fin Juin 2021) : lien ici

Vous avez toujours de nouveaux projets pour vos jardins. Aussi ces subventions disponibles seulement pendant un an sont une opportunité. Parallèlement, le constat fait en 2020 d’un évident besoin d’accroitre dans nos régions la résilience alimentaire pour plus d’autonomie face à des crises.

Les responsables publics sensibilisés par des associations, les élus locaux et les media ont compris qu’une large part de la sécurité alimentaire provient de l’agriculture urbaine et péri-urbaine. Mais ceci est également issu de la prise de conscience de lutter contre le réchauffement climatique tout en favorisant le lien social.

Toute la démarche est accessible sur le site des DRAAF ci-dessus. Quelques éléments d’éligibilité sont nécessaires pour déposer votre projet, ils sont de type :

  • Le projet est –il en zone urbaine ou périurbaine avec plus de 3000 habitants
  • La proposition concerne de l’alimentation durable
  • Le projet peut regrouper plusieurs jardins mais avec une seule demande
  • La réalisation sera faite en un an après validation

Comment structurer le projet de développement de jardins partagés ?

Les budgets de développement de jardins partagés  par département sont limités, les premiers dépôts de dossiers auront plus de chance d’être retenus . Autant dire que les devis doivent s’appuyer sur du concret, les ambitions étant parfois déçues lorsque l’on aligne les chiffres d’un budget. Le président, ou trésorier, devra faire des choix.

Par ailleurs dès qu’il s’agit de devis couvrant une période de 3 à 6 mois entre le dépôt et le lancement des travaux, il faut imaginer que le fournisseur ne pourra maintenir son prix. Car en ce début de 2021, les pénuries de matières premières de toutes natures ont vu les prix augmentés. Par exemple, l’acier augmente de 40%, le plastique de 25%, et le bois de 15%. Autant dire qu’à l’issue d’une période pour un projet donné, la réalisation peut être revue à la baisse, la subvention étant fixe. Pour éviter des déceptions que faire ?

Quoi inclure dans le projet de développement de jardins partagés?

Pour certains équipements des choix plus écoresponsables offrent des opportunités. Ils sont moins utilisateurs de matières premières et sont beaucoup moins sensibles à la hausse des prix.

Autrement dit comment en faire plus avec moins dans le cadre d’une subvention fixée ?

Tout type de jardin est concerné par le besoin d’un réservoir d’eau. Outre le besoin d’arrosage au moment où il peut y avoir des restrictions d’eau courante, la cuve en elle-même devient un moyen de stockage en tant que récupérateur de l’eau de pluie. Plus le volume est grand plus la réserve sera longue à se vider. Mais les volumes habituels importants et disponibles que sont les cuves de 1000 litres cubiques de réemploi se font de plus en plus rares. Les sites marchands font des promotions mais les stocks sont systématiquement épuisés. Par ailleurs, le prix des récupérateurs en magasins de bricolage a déjà augmenté de 10% à 15% en 3 mois.

Le récupérateur d’eau de pluie est éligible à l’appel à projet pour l’amélioration de l’agriculture urbaine dans le cadre du développement de jardins partagés. UNPACK propose des produits qui sont bien moins sensibles à l’ampleur des hausses de prix en 2021.

Le concept breveté d’UNPACK fait appel à beaucoup moins de matières et de ressources. Les produits développés s’inscrivent dans une idée de rendre l’eau de pluie accessible à tous. Une cuve d’eau de pluie pliable et pas chère qui peut facilement être aménagée avec un simple habillage bois est la solution pour des budgets réduits.

Demandez-nous un devis pour des quantités groupées ou un besoin de 1 à 2 cuves à connecter.

Récupérateur d’eau de pluie: Le type de cuve peut-il être aussi un choix plus écologique?

Développement des jardins partagés, un récupérateur d’eau de pluie plus écologique pour limiter le changement climatique, est-ce possible?

Les jardins partagés sont des espaces naturels. Leurs développements sont souhaités et facilités par un financement pour l’action associative locale (France relance/ LyonCapitale). Avant tout, l’environnement doit y est adapté pour l’épanouissement des productions de fruits et légumes. L’empreinte carbone (Définition Novethic) y est très faible ce qui est une évidence. Ce résultat est appréciable au travers du soin des jardiniers pour leurs parcelles. Mais c’est aussi un équilibre qui compense les effets des gaz à effet de serre pour des activités individuelles dans d’autres domaines familiaux.

Cependant, dans un environnement si naturel, un récupérateur d’eau de pluie est commode mais pas si « écologique » que cela. Il est à l’opposé d’une contribution positive au changement climatique dans cet espace vertueux. Les récupérateurs d’eau de pluie sont en plastique dur. Pour 20 kg de cette matiére qui constitue un IBC de 1000 litres l’empreinte carbone est de 270 kg de CO2 ( ou d’empreinte carbone )en plus . Le jardinier ou le promeneur font le même constat : ce sont des solutions de commodités en plastique rigide sans agrément esthétique. On peut même y reconnaitre parfois la marque de la succursale d’une industrie chimique  ou l’ancien produit contenu tellement ils sont visibles !

Un choix forcé pour le jardinier !

Le réservoir de 1000 litres type IBC est à bien des égards très utile pour son volume. En outre, la palette généralement en bois permet de le hisser sur un support. A cet instant, il devient un totem industriel qui orne sans aucun agrément le cabanon en bois. Pour ce qui est des emballages de 200 litres en matière plastique bleue, une fois ouverts, ils peuvent être des réserves d’appoint. Leur poids permet de les déplacer facilement au sol et la matière est imputrescible. Par contre, les larves de moustiques adorent la surface libre de l’eau pour se développer. Donc ces conteneurs ont des avantages et de nombreuses contraintes.

Réservoirs d’eau offrant le gite aux larves de moustiques

A ce jour c’est donc un choix forcé pour le jardinier : le réservoir le plus grand pour le prix le plus réduit !
Est-ce à dire que tous les autres inconvénients de ces produits sont ignorés :

  • Absence de garantie qu’un réservoir recyclé n’ait été en contact avec des produits nocifs
  • Aucun transport facile ni livraison pratique avec une faible émission de C02
  • Pas de résistance au gel sans vidange hivernale
  • Nul habillage facile pour lutter contre la chaleur et le développement des algues
  • Pas d’agrément paysagé pour un environnement naturel
  • Pas de limitation du développement des moustiques
  • Des contraintes de destruction pour le recyclage avec un tri compliqué des matières
  • Peu d’écoconception à visée responsable

Budget serré et choix d’un type de récupérateur d’eau de pluie plus écologique : comment le jardinier peut agir ?

Un jardinier consciencieux peut décider d’acheter une cuve neuve. Cependant elle restera un emballage industriel dont l’empreinte écologique est énorme. Les sources des sites officiels établissent qu’un français produit 9,9 tonnes de CO2 par an. Un jardin partagé de 40 parcelles équipées de conteneur IBC sera donc un nouvel impact d’une année entière  de production d’un jardinier de ce gaz à effet de serre .  Il est admis pour tenir les engagements de limitation de la progression des températures à 1.5°c que cette empreinte carbone doit diminuer d’un facteur 2 pour 2030. Alors comment au sein des jardins apporter une autre contribution  à cette réduction?

Quelle solution simple, responsable, esthétique existe pour un environnement végétal et avec un coût raisonnable. La réflexion ne peut s’arrêter sur le tonneau en bois, il est idéalement écologique mais très cher pour un faible volume. Alors que peut-on imaginer ?

Une cuve 1000 litres simple, pas cher, pliable.

UNPACK® a pensé, conçu, développé et fabrique une solution innovante, sûre et économique, c’est une réserve d’eau de pluie de 1000 litres à visée plus écologique et écoresponsable.

La conception de la cuve 1000 litres  utilise les qualités indispensables du plastique  mais avec juste le nécessaire de 2.4kg de matière de qualité alimentaire, soit une diminution de 84% de plastique. Le réservoir présente une très grande facilité de montage et par un habillage facile et sobre, il se place de façon harmonieuse dans un environnement naturel que sont généralement les jardins.

Cuve 1000 litres démontable réparable et recyclable
Cuve 1000 litres habillée pour un environnement harmonieux

Le récupérateur d’eau de pluie plus écologique est d’un ré-usage évident et le recyclage est immédiat pour une valorisation en déchèterie si la concession des jardins n’est pas renouvelée. Cette option doit etre une réflexion initiale car le cout de la destruction sera à financer. Participer à la limitation du réchauffement climatique en ayant des actions plus écoresponsables

L’objectif est de faciliter à tous l’accès à cet équipement construit sans superflu mais avec l’indispensable. L’eau de pluie peut ainsi être un usage plus  large pour les bienfaits des jardins, de la diversité du monde végétal  donc des êtres humains. Le cycle de vie des produits est souvent en lien avec celui des hommes et des organisations. Cette empreinte des produits  ne doit pas peser excessivement sur la collectivité. UNPACK® s’inscrit dans cette démarche et en a fait sa mission pour prendre sa part aux ODD. Participer à la limitation du réchauffement climatique en ayant des actions plus écoresponsables est une part de ce que chacun peut faire pour le partager avec le plus grand nombre.

Jardins partagés dans l’Hérault donc 40 nouvelles parcelles attendent leur récupérateur eau de pluie écoresponsable

Loi anti-gaspillage en vigueur depuis janvier 2021

Cuve 1000 litres démontable réparable et recyclable

Lien pour lecture: ici

Utilisation des réservoirs d’eau de pluie issus du réemploi des industries, quels sont progressivement les impacts? 

La loi anti-gaspillage introduit-elle des actions concrètes qui touchent au fonctionnement des jardins?

La loi aura-t-elle un impact sur autre chose que la suppression des emballages à usage unique comme les pots plastiques des semis de la grande distribution?

La réponse est OUI !

Généralement dans les jardins familiaux ou partagés sont présents des emballages en plastique de grand volume pour récupérer et distribuer l’eau de pluie. Ces réservoirs issus de l’industrie lourde sont assez commodes. Cependant ils ne sont pas exclusivement à proscrire à cause de possibles développements de larves de moustiques quand ils sont ouverts. Ils présentent d’autres inconvénients au moins à deux titres! Ce sont  des produits qui créent de l’effet de serre. L’ importante empreinte carbone vient de leur fabrication avec 18kgs de plastique. Leur reconditionnement après le lavage avec beaucoup d’eau chaude et de lessive est aussi une cause . Mais ils sont surtout une source de déchets qui ne peuvent être valorisé par les usagers et donc ils ne sont plus accepté en déchèterie. Cette situation est déjà connue dans le cas des produits issus du second choix de l’industrie. Du point de vue du texte cela devient le cas même pour des cuves neuves en plastique rigide qui seront un déchet encombrant, car elles doivent participer à un circuit de valorisation . Ce sont ces deux points que la loi va définitivement limiter en mise en décharge.

Loi anti-gaspillage : Que faire des emballages 200 litres bleus et des vieilles cuves plastiques rigides de 1000 litres?

La responsabilité des associations de jardins familiaux sera probablement une question! Sur le plan économique, le recyclage passe par des sociétés spécialisées qu’il faut payer pour la collecte. En effet les futs et les conteneurs ne sont pas démontables sauf avec de lourds moyens et ne peuvent plus être mis en décharge ( même par de petit bouts!). Seul un industriel peut les traiter pour valoriser acier et plastique . Mais dans ce cas le collectif devra assumer des couts!

Alors comment agir sans attendre ?

Emballages industriels en plastique bleu dans les jardins

D’autres types de cuve 1000 litres existent. Par écoconception les avantages sont une fabrication avec 87 % de plastique en moins. Mais surtout leur valorisation et leur recyclage sont simples pour chaque constituant acier et plastique . Ces cuves participent de tous les ODD . Elles sont une pierre à l’édifice de la réduction de l’effet de serre. Par ses choix le jardinier est acteur responsable tout au long de la vie de sa cuve . 

UNPACK

 Imagine, conçois, développe et fabrique en France des cuves qui répondent aux futures exigences de la Loi. Ces réservoirs s’assemblent et se démontent simplement pour valoriser chaque partie. Le réemploi est rapide , le recyclage lui devient un jeu d’enfant sans collecte payante. Les jardins pourront ainsi continuer d’être une lieu d’agrément sans emballages industriels  à éliminer et à supporter financièrement . L’eau de pluie peut longtemps être une source de vie en partage pour toutes les plantes et êtres vivants: UNPACK contribue à leur sauvegarde.

Réservoir d’eau de pluie, tous les avantages sans les contraintes

Tous les professionnels de la filière horticole l’indiquent, la période  2020 et ses confinements ont fait explosés les achats de plans et d’arbres fruitiers. Est-ce le cas pour le matériel tel qu’un réservoir d’eau de pluie ?

Des nouvelles résurgences de pandémie et la résilience associée font émerger pour 2021 un besoin de plus d’autonomie alimentaire pour les citoyens. Le potager se trouve donc de nouveau comme un centre d’intérêt(Le monde-Jardinage.fr).

Cette activité va  très vite être confrontée à l’entretien régulier de l’espace végétal mais surtout à la discipline de l’apport d’eau dès les premières plantations.

Un réservoir d’eau de pluie, utile?

Un réservoir d’eau de pluie à défaut d’un réseau d’alimentation est une nécessité. Le cout de l’eau tout autant que la corvée de l’eau deviennent des contraintes.  

La démarche qui consiste à rechercher un peu de liberté et de plaisir à cout modique  par ce potager se trouve face à l’exigence de l’apport d’eau .

Le réservoir d’eau de pluie sous forme de cuve de stockage s’affirme comme la solution pour disposer aux moments choisis de cette ressource aléatoire. L’installation de ce type de réservoir  fonctionnel est immédiatement confrontée à des contraintes. Trois points guident le choix :

Un grand Volume
Une bonne résistance aux conditions météorologiques
Un prix réduit

 Dans 99 % des solutions, la conséquence industrielle est une cuve rigide en matière plastique! Ces solutions conçues il y a plus de 30 ans  ont introduit de nombreux problèmes.

UNPACK® conçoit,  fabrique et commercialise un réservoir d’eau de pluie qui est la simple solution pour résoudre les problèmes et oublier les contraintes.

  1. Un prix réduit
  2. Une manutention aisée
  3. Une livraison possible en véhicule personnel sans frais
  4. Une adaptation du volume sans vidange en hiver ( hors zone montagne)
  5. Un réusage, ou un réemploi naturel
  6. Un recyclage rapide avec le démontage simple et le tri évidents
  7. La plus faible empreinte carbone du cycle de vie complet du produit
  8. L’agrément visuel du jardin par l’intégration paysagère
réservoir d'eau de pluie sur parpaing et son habillage

Cacher une cuve à eau 1000 litres, enfin la solution!

C’est l’hiver, la végétation a disparu aussi bien dans les potagers que dans les jardins familiaux, cacher une cuve à eau est difficile. Tous les réservoirs sont à nu!
Ces conteneurs industriels de couleur ou de forme rarement esthétique sont devenus d’affreux ornements du quotidien. Si leur utilité est certaine, certains problèmes posent questions ! Aussi comment :
Cacher une cuve à eau de 1000 litres ?
– Habiller un récupérateur d’eau de pluie ?
– Intégrer le réemploi d’un conteneur industriel IBC en fin de vie ?
– Développer un visuel agréable dans un esprit durable ?

habiller récupérateur eau de pluie
Cuve 1000 Litres UNPACK

Cacher une cuve à eau, comment?

La raison fondamentale, c’est qu’elle n’est pas faite pour être esthétique . Ces produits sont tous en plastique rigide. Ils sont faits pour l’industrie pétrochimique. Cet ultime réemploi, après plusieurs cycles d’usage avec des produits chimiques très techniques, n’est pas prévu dans la conception des cuves. En conséquence, seul un très bon bricoleur peut installer un camouflage esthétique et durable. Une autre solution est possible afin que ces spectacles insolites s’adaptent pour l’agrément d’un espace végétal naturel!

Habiller pour cacher votre conteneur, UNPACK® c’est simple!

UNPACK®, par son innovation, apporte une solution qui répond à toutes ces questions. Il devient trés facile de cacher une cuve à eau et d’agrémenter le jardin ou le potager. La cuve 1000 litres UNPACK® est un produit en kit préparé et qui s’assemble en 5 minutes. Sa structure par son concept breveté est un simple « CUBE » ce qui permet un habillage bois pratique. UNPACK® propose des panneaux paysagers standards en bois traité. La fixation est extrêmement facile tout en restant amovible en quelques secondes. Les nombreux avantages facilitent l’habillage d’un récupérateur d’eau de pluie à tout moment et partout.

UNPACK®, la réponse pour cacher une cuve à eau

Tous les problèmes habituels des autres réservoirs n’existent plus grâce à notre solution :
> Placer et fixer rapidement sur 2 à 5 faces en fonction du besoin
> Habiller avec un parement bois traité ou choisir de lasurer
> Agrémenter l’espace du jardin et de ses abords
> Protéger plus complétement contre le rayonnement UV
> Limiter l’influence de la lumière et réduire la présence des algues
> Maintenir l’eau plus tempérée en été
> Visualiser le niveau de l’eau de façon rapide
> Résister durablement aux conditions météorologiques
> Etre totalement durable et recyclable

Cacher une cuve 1000 litres en toute saison
UNPACK un kit simple


Cuve d’eau 1000 litres sans le superflu, avec l’indispensable et l’habillage bois esthétique en plus!

Les jardins potagers ou familiaux ainsi que les espaces publics nous habituent à des rencontres insolites. Des emballages industriels sont présents dans le paysage. Par la proximité des jardins urbains et des industries de transformation, des entreprises de récupération et de ré-usages de conteneurs développent une économie. Celle-ci est la base pour répondre au besoin de cuve 1000l « pas cher » à usage de récupération d’eau de pluie . Pour un jardin, une cuve extérieure doit se fondre dans le décor. Alors l’habillage bois est indispensable.

Pour les reconditionneurs des emballages concernés, l’origine garantie pour un contact sain et quasi alimentaire avec l’eau est impossible. Cela conduit les distributeurs professionnels à refuser la vente pour un usage des cuves uniquement lavées. Le coût de la cuve de 1000 litres devient beaucoup plus élevé pour l’usager car elle est remplacée par une poche plastique neuve. Cette contrainte est surmontable pour l’acquéreur, mais il doit alors accepter le coût additionnel du transport pour ce très volumineux emballage. Dans ce cas son jardin est équipé d’un réservoir, mais il restera nu et sans habillage!

Une cuve 1000l esthétique par son habillage bois, c’est possible et facile !

Cuve 1000 litres sur parpaings et son habillage bois

Le besoin d’un réservoir sûr résolu par la cuve de réemploi, elle reste encombrante et lourde. Un problème subsiste, la vue dans un environnement naturel et esthétique est à construire totalement. En effet, si les très nombreux conteneurs industriels restent nus et ainsi visibles de tous, c’est qu’ils peu adaptés. Techniquement ils sont fastidieux à habiller et le cout financier est important. UNPACK® a développé la cuve 1000 litres pas cher et simple comme un conteneur sans le superflu mais avec l’indispensable. La cuve de 1000 litres est imaginée, conçue et fabriquée pour se placer sur 4 parpaings et son habillage bois devient un jeu d’enfant.

L’approche d’écoconception conduit à privilégier des solutions de composants simples et standards avec des matières aux caractéristiques sûres et éprouvées. Ces combinaisons permettent de proposer un produit modulaire qui offre de très nombreuses solutions : une cuve de 1000 l pas cher, simple et esthétique avec son habillage bois. Le pin sylvestre traité classe II est un matériau suffisant. Cependant des habillages plus nobles en épicéa ou acacia peuvent être réalisés de façon toute aussi simple. UNPACK utilise des coupes de bois écoresponsables issues de forets ayant reçues les labels PEFC et FSC.

Conteneurs  » IBC/GRV » recyclés, doit-on en avoir peur pour les jardins familiaux et potagers?

Comme les données publiques l’indiquent, plus d’un million de conteneurs de 1.000 litres sont fabriqués par an en France. Ces IBC/GRV (désignation internationale) sont à l’origine issus exclusivement de l’histoire industrielle de l’Allemagne et des Etats-Unis il y a plus de 50 ans.

Les IBC ou Grands Conteneurs Vracs ( GRV ), initialement à usage unique, ont été depuis plus d’une décennie les grands gagnants – en termes de leur développement économique – face aux autres emballages industriels bien connus que sont les fûts en acier. Des CONTENEURS sont ,avant tout, des unités de conditionnement, de transport et de stockage. Ils sont très appréciés dans les industries chimiques, pétrochimiques ou dérivées ainsi que dans la pharmacie, la cosmétologie ou l’agroalimentaire. Ce sont avant tout – par définition légale de l’ADR* et de l’ADEME* – des emballages industriels classés qui peuvent avoir rencontré une diversité de produits dangereux pour l’homme, la faune et la biodiversité ! De fait, en fin de vie, ils sont classifiés en tant que déchet comme DID (Déchets Industriels Dangereux) et doivent recevoir un traitement adapté et contrôlé pour le recyclage et donc la destruction, ce qui parfois constitue une quantité importante de déchets ultimes.

Ré_emploi IBC (Isére)
IBC/GRV industriels en ré-usage,une situation d’éco-solution ou d’ économie avant tout?

Industriels et particuliers, le besoin n’est pas identique!

A l’aune de l’augmentation des quantités de ces emballages industriels, des entreprises se sont structurées pour leur recyclage après la collecte, le transport et  le traitement des déchets récupérés . Celles-ci proposent dans la démarche vertueuse de l‘économie circulaire un ré-emploi ou un ré-usage et organisent la destruction contrôlée de nombre de ces conteneurs industriels. Si la filiére du ré-emploi vers des activités adaptées est de l’intérêt des professionnels de la chimie et de ses dérivés qui possèdent le potentiel d’un système de contrôle qualité ……,par contre pour des particuliers ou des associations de jardins familiaux ou collectifs la capacité de s’informer sur la réalité sera souvent très opaque. Pourquoi?

Quelle réalité pour un réemploi de cuve IBC/GRV industrielle?

La matière première des cuves est une matiére plastique au nom de PE( polyéthylène) qui a de très nombreuses qualités. Cependant, elle garde la mémoire des produits conditionnés au travers de sa porosité et cela malgré de puissants lavages mécaniques à chaud. Aussi aucun des revendeurs professionnels et de renom ne propose un IBC/GRV recyclé et lavé comme une cuve 1000 litres pour récupération d’eau ( Référence en exemple : la société Fidel/Fillaud). Économiquement l’intérêt d’un prix très bas semble présent car les industriels de la distribution via des entreprises spécialisées en retraitement et  certifiées peuvent proposées des produits avec une certaine traçabilité.

La vente de particulier à particulier, un risque ?

Mais des réseaux parallèles ce sont mis en place et des sites de vente en ligne de particulier à particulier(PAP) peuvent proposés des IBC/GRV comme cuves d’occasion pas cher ! Il est évident qu’aucune identification ne sera fournie et donc bien des suppositions peuvent être faites. Ces usages de récupérateurs d’eau de pluie sont à déconseiller pour des jardins potagers. En effet la « phytoextraction » d’un nombre important de plantes potagères et ornementales est un fait avéré. Leur croissance dépend de ces apports d’éléments nutritifs transportés par l’eau d’infiltration. L’eau contenue  dans les IBC/GRV sera un support de dilution du reste des précédents produits conditionnés et  elle sera distribuée vers les plantes au travers de leurs réseaux racinaires. Les racines étant souvent un élément de stockage des nutriments ( radis, navets, carottes etc.),mais c’est aussi la partie comestible recherchée par le jardinier ou le consommateur .

Association de jardins familiaux ou collectifs : Quel choix?

A l’évidence un IBC/GRV recyclé et pourvu d’un certificat de poche PE neuve doit être la bonne option pour une vraie éco-solution. Mais la sécurité au jardin a un prix surtout pour un usage avec le stockage de l’eau pendant une longue période d’hiver par exemple. Cependant  économiquement le produit  ainsi reconditionné est beaucoup plus onéreux pour des Associations de Jardins Familiaux ou collectifs ou des particuliers, prix auquel un coût de transport de ce volume vide est un ajout  .

UNPACK® propose une autre solution. Le concept  breveté de la marque permet un remplacement de la partie souillée du conteneur . Le récipient intérieur certifié alimentaire peut être changé très facilement par l’utilisateur. Nul besoin d’une entreprise certifiée pour un recyclage. UNPACK® fournit une poche souple avec un traçabilité irréprochable de la matière et l’utilisateur qui devient un acteur responsable. Dans ces conditions  le prix du ré-emploi du conteneur  est réduit par 3. Un autre avantage significatif d’ UNPACK® face aux autres propositions du marché! Le conteneur de 1000 litres comme cuve simple, pliable, pas cher devient un vraie éco-solution pour un engagement responsable pour les impacts environnementaux et humains.

ADR: Accord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par route ( Réglementation contrôlée par le Ministère de la Transition Écologique et des Transports)

ADEME : Agence de la transition écologique

Une certaine résilience alimentaire passera-t-elle par un complément d’autonomie apporté par le potager individuel!

Toute résilience fait appel à une réaction basée sur l’utilisation de nos propres capacités cachées pour agir afin de limiter les effets d’un état d’urgence ou de stress important. Si par ailleurs nos besoins fondamentaux sont tout particulièrement affectés par une situation à forte charge émotionnelle, l’individu va puiser dans ses savoirs fondamentaux acquis pour éviter que la cause ne soit de nouveau présente. Se nourrir et pour une part en autonomie est selon Abraham MASLOW une des bases des éléments indispensables à l’espèce humaine. Or dans l’après de la pandémie à maladie de coronavirus, ce facteur psychologique de résilience alimentaire pourrait amplifier un certain renouveau des jardins potagers individuels ou des jardins familiaux.

La métropolisation a fait naître des enjeux alimentaires, environnementaux et sanitaires. Pour les légumes et fruits ceux-ci ont trouvé leurs solutions par des circuits de distribution vers le marché ouvert, le primeur ou la grande/moyenne surface. Ces produits de base furent par ailleurs agrémentés et protégés par de multiples emballages, bien que parfois avec une emphase de fioriture marketing qui ne s’accorde pas avec le caractère naturel. Cette sécurité liée à la fois à des facteurs de distance lié aux lieux de production et la main d’oeuvre parfois indisponible ou hétérogène pénalise le consommateur au regard du coût. Ce point est d’autant augmenté si le besoin de produits « BIO » devient un réflexe pour échapper aux circuits de la distribution et à ses multiples manipulations. Si la pénurie peut ne pas être présente par de nouvelles solutions de distribution facilitée pour des producteurs locaux ( article de FRANCE INFO) https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-risque-t-on-une-penurie-de-fruits-et-legumes-frais-en-raison-de-l-epidemie-de-covid-19_3885625.html, tout un chacun n’aura pas, aprés le confinement de ce début 2020 ,la même approche confiante au système sans faille !!.

La base de la résilience alimentaire : le potager

Développer une surface de son jardinet, de sa cour ou de sa terrasse pour lui affecter un rôle de potager permet de répondre à ses besoins d’autonomie, de réaction résiliente, de plaisir du fait maison et de soucis de frais. Cette approche sera facilitée car les solutions sont nombreuses au travers des tutoriels de jardinage. Si cette démarche convient pour quelques pieds de tomates, plantes aromatiques ou fraisiers, il sera par contre difficile de nourrir une famille de 4 personnes. L’association de quartier, le syndic de propriétaires ou un jardin familial sera un groupement qui saura libérer sur une surface à partager les énergies du groupe. Ce besoin de concret répond à ces défis amplifiés. La part de recherche de sécurité, d’autonomie, de réappropriation à minima du vital et de naturel est la concrétisation de cet enjeux: la résilience alimentaire.

En conclusion, cet espace naturel de proximité, ajouté à la dimension psychologique d’agir pour son autonomie par un part de « Bio » maîtrisé devrait correspondre à cette étape de reconstruction post pandémie 2020. Il restera encore à entretenir le développement de ces cultures réappropriées par la source d’eau la plus adaptée. Tout aussi pertinent un des besoins fondamentaux sera celui de devenir en partie autonome avec l’eau de pluie, et cela ferra sens pour ces potagers. Les conteneurs de tout type pour stocker l’eau de pluie seront une forme de réserve elle aussi  de sécurité. Aussi  installer facilement une cuve de 1000 litres à usage de récupérateur d’eau de pluie, simple, résistant, économique, c’est le conteneur en kit, modulaire et pliable uniquement proposé par UNPACK . Cet esprit de responsabilité, de simplicité associée à la fiabilité sont les valeurs portées par les produits de cette marque née d’une innovation française.

Jardins familiaux: le récupérateur d’eau de pluie, une autre solution?….Rêve ou réalité?

Un « champ » de rêve ou le ré-usage des emballages industriels : Une vision tout en contraste pour quelle issue environnementale ?
Un « champ » de rêve ou le ré-usage des emballages industriels: Une vision tout en contraste pour quelle issue environnementale?

De nouveau entr’ouverts à nos yeux, les jardins familiaux endormis voient éclore les taches de couleurs des  toutes premières fleurs  .Ainsi ,des jaunes , des oranges ou des rouges  et très rarement du bleu viennent à agrémenter notre vision de futurs pour des espaces végétal accueillant récoltes et moments partagés en famille  .Cependant , des teintes frappent par leur présence avec un spectacle  fort en couleur dans cet espace éco responsable et apaisé  qui entoure une nature ligneuse .Le bleu  y est devenu très mode !

Nul doute, ce sont des récipients, vétuste présence dont une première vie fut honorable et homologuée .La supply chain des produits industriels qu’ils ont contenus en avait acté les vertus .Lavés, rincés puis coupés ces contenants sont un ré usage pour le stockage de l’eau. Elle provient souvent de la pluie à collecter et stocker en réserve tampon .Ainsi ces futs et tonneaux deviennent des récupérateurs aériens de  la plus ancienne des sources de vie ! Mais ce phénomène de masse c’est amplifié car cette matière plastique teintée a remplacé le métal dont la nature première avait tendance à rendre fuyard les futs en fer dès la première rouille installée. Est-ce une autre vie durable qui commence pour ces emballages industriels ou une étape vers qu’elle issue ?

Ces ex «  emballages industriels » restent des produit à base de plastique de type  PEHD ou PP .En tant que tel ce sont des déchets à recycler qui au terme de la convention de concession du lieu concerné ou du jardin partagé seront à traiter .Le particulier, l’association et souvent la collectivité choisiront via une collecte  ce qui  ne peut aller en déchetterie par nature de matériaux si le tri sélectif a été développé  car il n’est plus rare de voir des IBC ( Intermediate Bulk Container) adossé aux constructions !.Un cout qui est à assumer.

L’image  contemporaine des jardins familiaux ou des espaces partagés pour de l’agriculture urbaine ne devraient-ils pas été respectés par des cuves d’écoconception esthétique à faible empreinte carbone et à ré usage avec des déchets ciblés minimum ?

Libérer les jardins familiaux du poids du passé!

En effet, toute une partie de la filière du recyclage oriente vers ce possible pour un ré usage. L’économie solidaire très présente en ces lieux de partage cherche souvent ces seuls aspects « discount » .  Or la genèse de ces emballages fut aux antipodes  de l’éco conception il y a plus de 50 ans maintenant. Par ailleurs, remettre à neuf  après la première  utilisation un emballage industriel  nécessite une forte charge de traitement lessiviel pour  accéder à de tels réemplois. De production, en transport et espace de stockage  puis recyclage par action thermique et chimique une très importante   empreinte carbone de 15 à 30 kgCo2 (pour 100 litres de conditionnement en PP, PE ou GRV composite) est générée .Certes si une forme de « close loop »  particulièrement présente dans le milieu industriel existe car économiquement liée au cycle des emballages neufs et en diminue le poids  de 40 % (ADEME Bilan GES Sept 2017) . Les couts sont supportés par la totalité de la chaine de valeur des industriels interdépendants, mais dans le cas de ces associations à but non lucratifs  il n’est pas certain qu’ils puissent en porter à terme la charge sociétale différée !

La demande étant présente les besoins sont aussi satisfaits par des produits neufs dédiés. Ils sont parfois adossés à des nouveautés en végétalisation intégrées tout en restant de très volumineuses enveloppes    sophistiquées creuses mais rigides. Ce sont là de nouveaux meubles de jardin qui certes ont une réponse marketing adossée quelle est au besoin contemporain des primo accédant de maison intégrée au plus près de l’espace végétal. Cependant c’est une réponse de sur-ajustement au besoin fondamental du client (« Overshooting » en termes économiques  ) .D’autant que si le propriétaire oubli la vidange de l’eau  avant l’hiver ….il est certain que le gel  lui se chargera de la mise en forme ! Et l’application connectée diriez-vous pour penser à tout ? Oui mais elle aussi à un cout  et une empreinte carbone des serveurs qui l’alimente !

Les contenants contemporains de grand volume devenus de banals commodités   sont de plus en plus présent pour répondre aussi aux espaces végétalisés, ce printemps sous ses rayons nous le montre, pendant que la GSB se fend  de promos pour des jarres de 600 litres  aux formes helléniques.

Oui, cette part du  rêve s’oppose à la réalité. Quelle est donc  l’innovation d’eco-conception avec des fondamentaux simples qui permettent de limiter pour sa plus faible partie possible l’empreinte carbone de ces  contenants ?

Il reste ces « champs » ou l’agriculture « urbaine » ferra peut être éclore  l’attente d’autre chose, et de surement frugal ! Cette vision qui ne peut être avec zéro de tout déchet et de toute empreinte carbone fait sens dans une époque à construire avec une vraie économie circulaire. Alors  les sirènes du second choix industriels recyclés ne seront plus les seules options. Des associations référentes de jardins familiaux, des jardiniers ou citoyens pourront faire un choix solidaire .

 Alors  a quand moins de…… 5kgCo2 (au 100 litres) ?, tout en laissant le « bois »  loin de ce domaine industriel ,car il donne déjà de sa personne dans bien des sujets !